[HOT] SANDRIME ♦ i'll do whatever it takes

I'll do whatever it takes Il est beau, Maxime. Tellement magnifique quand je suis en train de lui faire perdre la tête. J'assiste au plus beau spectacle qu'il puisse m'être donné de voir. Et je relâche pas mes efforts afin de pouvoir continuer d'avoir cette vision de rêve. Mes efforts me font transpirer. Le plaisir qui se propage dans toutes les parties de mon corps comme s'il m'était directement injecté dans le veines aussi. J'ai chaud, tellement chaud que j'en ai l'impression d'être en train de me consumer lentement de l'intérieur. Mes doigts se crispent sur les hanches de Maxime quand j'entends sa voix devenue rauque, chaude. Quand il se redresse, je me penche pour faciliter les choses et je l'embrasse à pleine bouche, je le mords un peu, ma langue joue de façon indécente avec la sienne tandis que mes gémissements et autres râles sont étouffés par ce baiser plus que passionné qu'on échange. Ses ongles qui se plantent dans ma peau me font grogner. Je me venge avec un ralentissement de mes coups de reins pour le faire languir. Je lui en donne quelques uns, secs, profonds, alors que mes dents maltraitent un peu sa lèvre inférieure puis le bord de sa mâchoire. Et quand la lenteur, la retenue devient une torture bien trop difficile à endurer, mes mouvements de hanches se font progressivement plus fluides. L'une de mes mains glisse sur le côté intérieur de sa cuisse, caressant l'épiderme doux, lisse, humide, mes doigts étalant lentement les perles de sueur jusqu'à atteindre son entrecuisse. Ma paume se cale finalement sous ses bourses pour les soupeser, les caresser, les faire rouler délicatement dans ma main, contre mes doigts. Puis comme je sens que je ne vais plus pouvoir endurer tout ce plaisir encore bien longtemps, je décide à l'aider à monter au septième ciel avant moi. Je recommence à le culbuter intensément alors que mes doigts se referment fermement sur son sexe bien tendu qui jusque là frottait simplement la peau de mon ventre. Je me mets à le masturber au même rythme que mon sexe va et vient entre ses reins. Mon pouce vient régulièrement titiller franchement les parties les plus sensibles pour lui faire perdre la tête. Je sais même plus si je lui fais encore l'amour ou si je le baise carrément en cet instant mais… Ce qui est certain, c'est que je l'aime comme un dingue, et que je veux qu'il sache comme il me rend fou. Lui. Lui et personne d'autre.

« Maxime… »

Mon bas ventre s'enflamme vivement, je le contracte fortement pour pas craquer. Pas tout de suite. Je veux absolument tenir bon pour Maxime. Je veux tenir le coup pour pouvoir l'achever en beauté. J'en grogne à plusieurs reprises alors que je martèle sa prostate de coups de bassin bien placés. Je veux que ça soit lui qui vienne en premier, qui prenne son pied en priorité. Parce qu'il le mérite, parce que je l'aime, et que c'est lui d'abord. Définitivement. Il n'aurait jamais dû en être autrement. Il n'en sera plus jamais autrement.

moins de 14j

NP : The Mountain - Three Days Grace

I'll do whatever it takesJ’ai chaud, j’ai terriblement chaud. Le plaisir qu’il me procure est immense et j’ai l’impression qu’il me fait perdre la tête, ou plutôt que je perdrais vraiment la tête s’il arrêtait ce qu’il est entrain de me faire. Je gémis, je grogne, je me redresse comme je peux pour l’embrasser. Parce que ses lèvres me manquaient déjà, que j’en crevais d’envie, pour vrai. Et il me facilite les choses et les mains se retrouvent à tirer sur ses boucles et planter mes ongles dans son dos. Je l’embrasse probablement bien salement, mais je m’en fiche. C’est passionné, comme ça l’a toujours été avec lui. Comme je veux que ça le soit à tout jamais d’ailleurs. Parce que c’est parfait comme ça. Mais il ralentit ses mouvements et je couine, je geins parce que j’ai vraiment envie qu’il accélère la cadence à nouveau. Je crois que s’il se remets pas à bouger maintenant, je vais finir par perdre la tête. Pour de bon. Et pourtant, même s’ils sont plus lents, ils sont toujours aussi bon, et je gémis quand il me mords la lèvre. Je me laisse bien retomber en arrière en cambrant le dos quand il reprend son ancien rythme. Et bordel, il se mets à me caresser en même temps, il joue avec mes bourses et je crois que les sons que je lâche sont plus du tout virils, mais franchement… J’en ai plus rien à foutre. Je suis trop bien pour me soucier de ça. Il caresse mon sexe ensuite et quand il me culbute comme ça, qu’il me baise bien comme il faut… J’ai la respiration saccadée, j’ai l’impression de me consumer de l’intérieur et que je ne suis plus que plaisir et fougue. J’ai l’impression que je vais mourir. Mais d’une bonne mort. Je m’arque, je bouge le bassin contre le sien presque frénétiquement. Et putain, le faire avec lui, c’est paradisiaque. Parce que, Sandro, je l’aime. Je l’aime, je l’aime, je l’aime. Pour toujours et à jamais. Plue que n’importe qui d’autre. Et j’ai la nette impression que mon bassin est encore plus enflammé que le reste, que je vais brûler vif. Je couine son prénom plus fort et je plante mes ongles dans son dos encore plus, je le griffe quasiment sur toute la longueur de son dos. Et c’est quand j’atteins l’orgasme que je me tends vers son corps, que je me ressert autour de son sexe, que je pousse un long gémissement, jouissant dans sa main et sur nos torses.© 2981 12289 0

418 MOTS

NP : Si j'arrêtais - Vald

I'll do whatever it takes Mes efforts payent carrément au moment où Maxime succombe au plaisir que j'm'applique à lui donner avec toute mon âme. Sérieux, j'lui ai donné tout c'que j'avais en luttant fort pour éviter de craquer le premier. J'suis plus qu'heureux quand j'peux le voir se cambrer, quand j'le sens me griffer plus brutalement encore qu'avant. Il est totalement pris par la jouissance. Et même si je grogne sous la douleur, je kiffe carrément le voir dans cet état. Il est magnifique bordel. Son gémissement me fait frémir de mon corps tout entier. Et l'étroitesse de son corps me fait totalement vriller. Franchement, trois pauvres coups de reins plus tard et je le suis dans l'orgasme. Je le rejoins sur son petit nuage, mon plaisir se déversant sans retenue au fond de son corps. Je le marque comme étant mien, je l'agrippe bien fort. Mon dernier râle de plaisir contient son prénom. Parce qu'il est le seul à pouvoir me faire du bien comme ça, aussi fort. Parce qu'il est celui autour de qui tourne mon monde depuis plusieurs années maintenant. Et la rupture n'a pas arrêté ce phénomène. Je suis aussi amoureux qu'au premier jour. Et c'est pour ça que, éreinté, je m'allonge de tout mon corps sur lui. Je niche mon visage au creux de son cou pour humer sa peau collante de transpiration. Il sent la sueur et… Lui. Je suis aux anges. Tellement heureux d'avoir pu partager un tel moment avec Maxime. Il m'a terriblement manqué, il n'y a pas à en douter. Pas une seule seconde. Mon coeur bat comme un taré, et j'suis sûr que c'est pas juste à cause de ce qu'on vient juste de faire. Lui aussi est simplement en joie.

« J'me sens revivre… » je glisse au creux de l'oreille de Maxime. « Et je t'aime comme un fou… »

J'ai pas de pudeur envers lui pour lui dire ça. J'peux aisément lui dire que je l'aime. Même la première fois n'a pas été si dure quand on y pense. Je le pense juste tellement fort… J'peux bien lui dire. J'veux tant pouvoir le lui dire encore des centaines de fois. Ou des milliers, des millions, des milliards… Et plus encore.

« Reste, s'il te plaît… »

Je sais pas si il comptait s'en aller ou pas. Mais moi… J'veux qu'il reste. J'veux pouvoir dormir au creux de ses bras, mon corps scotché au sien comme un putain de scratch. J'veux pouvoir me réveiller avec lui. Revoir son visage quand il vient juste de sortir du sommeil et qu'il fait encore la gueule parce que ça l'fait chier d'avoir à affronter le début d'la journée. C'est tout c'que je demande. J'veux pouvoir l'embrasser demain matin, et le câliner avant qu'il s'en aille vaquer à ses occupations.

moins de 7j

NP : Credo Revolution [Zardonic Remix] - SEMARGL

I'll do whatever it takesLe sexe avec Sandro, j’ai tellement l’impression que c’est et que ça sera toujours parfait. Après tout… J’ai toujours aimé ça et même si j’ai pas matière à comparer avec qui que ce soit d’autre… Bah je m’en fiche en fait, ça rends pas la chose moins meilleure. Parce que je sais même pas si, en fait, c’est parfait parce qu’il est doué ou parce que c’est tout simplement lui, qui bouge contre moi. Parce que je l’aime plus que tout, ça a toujours été le cas. Et je pense bien qu’au fond de moi, je savais que ça serait toujours le cas. Que je serais toujours dingue de lui. Je suis encore totalement entrain d’haleter quand j’entends mon prénom échapper ses lèvres, quand il jouit, c’est carrément de la musique à mes oreilles à ce niveau. Et quand il jouit, que je le sens faire en moi, je pousse un petit gémissement. C’est kiffant de savoir que c’est moi qui l'ai fait se sentir tellement bien. Je me lèche doucement les lèvres quand je le sens qui s’allonge sur moi. Mes bras viennent doucement enrouler sa taille entre mes bras. Je caresse lentement sa peau. Je ris un peu quand je l’entends parler.

“Abuses pas...” Revivre ? Le pire, c’est que ça me plaît. “Je t’aime aussi.”

Je souffle contre lui et si pendant un moment, je pourrais presque me dire que je vais y aller, que c’est peut-être mieux… Sa demande m’arrête directement. Parce que s’il veut que je reste avec lui, c’est sûr que je vais rester. Je veux dormir avec lui et qu’il arrive à me faire arrêter de faire la gueule quand je vais finalement me réveiller. Je le resserre un peu contre moi.

“Je compte aller nul part.” Je dis.

Et finalement, je me décide à nous retourner tous les deux pour qu’il soit allongé sur le lit, que je sois assis sur son bassin. Je prends ses mains dans les miennes et s'emmêle nos doigts ensemble. Je crois bien qu’avec ce que je vais lui dire, il va probablement maudire mes runes et surtout celle qui me donne tellement d'énergie. Même s’il ne sait pas vraiment ce que c’est. Je me penche un peu et je viens doucement embrasser la peau de son cou. Et finalement, je lui souffle :

“J’en veux encore...”

Je serais clairement jamais repu, j’en veux toujours plus de lui. Jamais je n’en aurait assez. Que ce soit de ses baisers, de son toucher… En fait, tout simplement de sa personne. Je crois être bien trop accro à lui pour ma propre santé. Beaucoup trop… Mais je m’en fiche. Je suis trop amoureux. Après, s’il est trop crevé pour faire quoique ce soit d’autres… Je m’en fiche un peu à vrai dire. On peut tout simplement se câliner dans le lit - ou faire autre chose - et je calmerais mes ardeurs, moi. Je pense que je peux tout de même faire attention à rester… Calme en fait. C’est déjà ça, non ? © 2981 12289 0

507 MOTS

I'll do whatever it takes J'ai toujours adoré sa façon de me serrer entre ses bras, je suis tellement heureux que ça se reproduise, de pouvoir le sentir me vouloir de nouveau auprès de lui. Je ris doucement quand il me dit de ne pas abuser.

Je lui réponds : « J'abuse pas… J'te jure… »
Et puis : « Je t'aime encore plus… »

C'est niais, carrément nian-nian, mais j'assume totalement. Je suis amoureux alors… J'ai pas de raison de ne pas assumer ça, pas vrai ? Je suis totalement fou de lui. Je veux qu'il le sache, qu'il le sente. Je dois me faire pardonner, regagner sa confiance, j'en suis conscient. Et je veux tout faire pour me racheter. Je ferai tout pour lui. Je veux plus jamais le perdre. Plus jamais prendre le moindre risque que ça arrive. Je lui dis que je veux pas qu'il parte. Je suis ravi de l'entendre me dire qu'il compte pas partir. Il va rester avec moi et ça me rend carrément heureux. Je lui adresse un grand sourire avant d'écarquiller les yeux quand il me choppe pour nous faire basculer. Je m'y attendais pas. Mais je retrouve rapidement mon sourire. Je ris doucement et je serre ses doigts entre les miens avec grand plaisir et je l'observe d'en bas, alors qu'il s'est assis sur moi. Il est beau… C'est un vrai bonheur de pouvoir le regarder. Je pourrais continuer toute ma vie… Et j'espère pouvoir le regarder encore et encore jusqu'à la fin d'ailleurs.
Il se penche pour embrasser mon cou, je le lui tends sans la moindre hésitation. Je ferme les yeux mais je les rouvre rapidement quand j'entends sa voix.

« Vraiment ? »

Ca a duré longtemps pourtant, non ? Avant il en réclamait pas encore quand on avait terminé. Peut-être que j'ai rouillé durant ces derniers mois ? Ou… Je lui ai juste terriblement manqué peut-être ? J'humecte mes lèvres d'un coup de langue et je dépose mes mains sur ses hanches pour les caresser doucement. J'ai le coeur qui bat encore bien fort après ce qu'on vient de faire, mais…

« Tout ce que tu veux, mon amour… »

Je suis pas encore vieux quand même, je pense bien que je pourrais retrouver de la vigueur d'ici quelques minutes, et on pourra encore le faire. Tout ce qu'il voudra, dans le sens qu'il voudra. Je glisse l'une de mes mains sous son menton pour l'inviter à relever la tête et je presse mes lèvres contre les siennes, je l'embrasse passionnément sans tarder à lui réclamer un échange plus profond d'un coup de langue sur ses lèvres.

moins de 7j

I'll do whatever it takes“Tsss….” Je fais avec un petit sourire sur le bout des lèvres alors que je caresse doucement son corps. “C’est même pas vrai.”

En fait, j’en sais rien, j’espère pas en fait, qu’un des deux aime l’autre plus. Je sais pas pourquoi, mais ça m’embêterait vraiment. Même si c’était moi qui l’aimerait le plus. Mais bon, pour moi on s’aime autant l’un que l’autre. M’enfin bon… Je le garde bien contre moi, je compte pas m’en aller, je veux pas m’en aller, je veux rester avec lui encore et encore. Je veux me réveiller avec lui et pouvoir passer toute ma journée avec lui, même si je sais que ça ne serait pas possible. Parce que j’ai des choses à faire, mais je voudrais ne pas en avoir et passer ma vie dans ce lit à glander avec ce garçon.

Mais… Si je reste sage, je finis tout de même par nous faire basculer, pour me retrouver au dessus de lui. Et je l’observe, je le trouve toujours aussi magnifique. Je l’ai toujours trouvé magnifique. En même temps, qui ne le trouverais pas beau ? Si au départ, il a l’air un peu brusqué, il retrouve rapidement son sourire et ça me plait vraiment. J’aime le voir heureux, même si c’est probablement niais. Je m’en fiche pas mal que ce soit niais, c’est ce que j’pense. Même si j’me vois quand même mal lui sortir ça à voix haute. Je caresse ses mains avec mes pouces, j’embrasse et je mordille un peu son cou. Je laisse une marque de mon passage.

“Vraiment...” Je souffle contre sa peau.

Nos mains finissent par se détacher et pendant un moment, je me demande ce qu’il va me dire. Je pose mes mains à plat sur son torse et je souris doucement quand il me réponds en me caressant les hanches. J’suis content, qu’on puisse le refaire. Alors du coup, je commence à doucement onduler des hanches quand il cède à ma requête. Je me laisse guider pour qu’on s’embrasse. J’entrouve les lèvres pour que nos langues viennent jouer ensemble, même si je suis encore un peu à bout de souffle. Et pendant notre baiser fougueux, j’hésite pas à continuer de me frotter, je veux à nouveau le rendre dingue, qu’il crève d’envie qu’on se remette à nouveau à faire l’amour. Parce que franchement, si je pouvais le faire encore et encore avec lui… Je crois que je m’arrêterais jamais. Quand je suis à bout de souffle, je finis par revenir embrasser et marquer sa peau.

“T’es à moi...”

Je grogne un peu contre sa peau. Parce que je veux qu’il soit le mien, pour toujours. Je lui demande pas forcément d’être à nouveau mon petit copain. Juste d’être à moi. Parce que je crois que je serais toujours à lui, au fond. Pour toujours. De toute manière, je me verrais pas avec qui que ce soit d’autre un jour. J’y ai même jamais pensé. J’y penserais jamais, parce que maintenant, Sandro est de retour et que je compte pas le laisser me filer entre les doigts.© 2981 12289 0

520 MOTS

I'll do whatever it takes Je lâche un petit rire face à sa réaction. Il est adorable. Je me demande s'il y en a un qui aime plus l'autre. J'en ai pas la moindre idée et… Je pense pas que ça soit quelque chose qui puisse se mesurer, se comparer et de déterminer. Mais ce dont je suis sûr et certain, c'est que personne ne pourra jamais l'aimer plus ni même autant que je l'aime moi. Malgré ce que je viens de penser, c'est clair que, ça, c'est impossible. Je l'aime trop infiniment pour que qui que ce soit puisse rivaliser. Et encore moins son abruti de meilleur ami qui lui collait souvent au cul à Albuquerque. Mon cul que ce mec voyait Maxime que comme un pote… P'tain. Faut qu'j'arrête de penser à lui. C'est pas le moment. C'est même jamais le bon moment. Brrrr…

Maxime m'aide bien à rester totalement focalisé sur lui. Bien que je sois surpris de sa petite réclamation, c'est clairement pas en mal. Il est bien gourmand ce soir, ça me plaît. On peut dire que ça nous donne l'occasion de se retrouver en beauté et… Sincèrement, je vais pas cracher dessus du tout. Faudrait que je sois devenu totalement fou. Alors évidemment que j'accepte. Je lui donnerai tout ce qu'il voudra autant que je le pourrais.
Je grogne quand il commence directement à faire bouger ses hanches que je caresse bien pendant qu'on s'embrasse avec passion. Ce n'est qu'une question de peu de temps pour que mon corps commence à de nouveau réagir au contact du sien. Je me sens de nouveau durcir progressivement sous l'appel de ses hanches qui ondulent encore et encore contre moi, contre son beau dernière qui m'a toujours totalement fait envie. Mes mains descendent d'ailleurs jusqu'à lui pour le caresser, le malaxer sans timidité. A quoi bon jouer au pudique, hein ? Pas d'ça entre nous. Y'a vraiment pas d'quoi.

« Entièrement, et à jamais… »

Sur Terre il y a bonne quantité de gens qu'on dira être bien pensants qui disent qu'en aucun cas, on appartient à quelqu'un d'autre que soi. Qu'en aucun cas, quelqu'un d'autre nous appartient mais… Putain, c'est qu'du bullshit pour moi. Parce que si je peux appartenir à Maxime corps et âme… Je le fais sans hésitation. Je suis tout à lui encore plus qu'à moi-même si c'est ce qu'il souhaite. Je me donne totalement au mec que j'aime le plus sur Terre.

« Et t'es à moi, bébé… »

Je lui dis avant de redresser pour être assis et de croquer son cou. De le mordre assez fort pour le marquer et l'exciter, pas assez pour lui donner une douleur trop intense. Mes mains se faufilent sur l'intérieur de ses cuisses pour se jouer de la sensibilité de sa peau bien plus douce qu'à ce à quoi on pourrait s'attendre et je viens titiller son sexe d'une main, je frôle la peau de sa cuisse du bout de mes ongles de l'autre. Après avoir imprimé mes dents à côté de son tatouage, je lèche son épiderme salé par la transpiration et je me mets à me déhancher aussi sous son bassin pour me frotter à son beau derrière à croquer.

NP : Black Betty - Caravan Palace

I'll do whatever it takesJe garde mes mains sur les joues de Sandro, je le quitte pas du regard. Il est tellement beau, et je suis tellement amoureux de lui… J’ai jamais envie de le quitter du regard, d’arrêter de le toucher. Il m’a rendu accro quand on était ensemble et je sais que ça ne disparaîtra jamais. Parce qu’il est bien trop parfait et que je suis bien trop amoureux de lui pour faire quoique ce soit d’autre chose, honnêtement. Et ça me pousse aussi à lui en demander encore plus, à lui demander à ce qu’on continue nos petites galipettes. Et je tente de lui en donner encore plus envie en frottant lentement mon bassin contre le sien, mes lèvres mouvant contre les siennes passionnément. Et je ne peux nier le fait que le sentir commencer à s’exciter lentement à nouveau en dessous de moi, ça me donne vraiment envie, ça m’excite aussi. Je me sens durcir petit à petit, et ça m’empêche pas d’onduler mes hanches contre les siennes. Et je soupire d’aise quand il caresse mon derrière, qu’il le malaxe. Je trouve ça carrément kiffant.

« J’aime ça. » Je lui fais, un petit sourire sur le bout des lèvres.

L’idée qu’il m’appartienne totalement, qu’il le soit à tout jamais, ça me rends euphorique. C’est peut-être égoïste de vouloir que quelqu’un soit à moi, ma propriété si on peut dire ça comme ça, mais… Je peux pas m’en empêcher. Je le supporterais pas de le voir avec quelqu’un d’autre, Sandro. Je serais tellement mal à l’idée qu’il ait trouvé quelqu’un d’autre. Parce que Sandro, c’est ma moitié, aussi cliché que ça sonne. Sans lui, je suis que la moitié d’un homme, au mieux. Puis il me rends tellement meilleur, Sandro. Je crois même que ça a toujours été le cas, j’aurais pas une once d’humanité, de gentillesse s’il n’était pas là, s’il ne m’avait pas rendu… Doux. Même si je déteste admettre ça, s’il est mon point fort, il est aussi mon point faible. Et le pire dans tout ça, c’est que je m’en fiche totalement, qu’il pourrait totalement m’anéantir en se décidant d’aller voir ailleurs.

« Jusqu’à ce que je meurs. »

Le pire, c’est que je pourrais même pas dire « qu’on meurt » parce que je sais clairement que je serais mort avant. Je suis un putain de membre du Cercle, je sais que je serais le premier à y passer. Et que ça sera pas beau. Mais pour l’instant, je préfère pas y penser, rester là avec lui, profiter de tous les moments que je peux passer avec lui. Je le laisse se relever, je glisse mes mains sur ses omoplates avant de gémir son prénom quand il me mords fort. J’arque totalement le dos contre lui, je me cambre contre son corps, je suis super excité et quand j’en ai assez, que je crève tellement d’envie d’aller plus loin, je viens embrasser Sandro avec fougue. Je tiens son sexe à sa base d’une main, je le guide doucement à mon entrée avant de m’asseoir dessus plutôt lentement en poussant un léger râle de plaisir., mais je m’arrête pas jusqu’à être bien assis sur ses cuisses, sa queue entièrement au creux de mes reins.

© 2981 12289 0

542 MOTS

I'll do whatever it takes Je ne peux m'empêcher de le toucher de partout. Son corps m'a tant manqué. Bien que je ne l'ai jamais aimé uniquement pour l'aspect charnel de notre relation, je suis tout de même très attiré par ça, surtout avec lui. Son corps me plaît et pas qu'un peu. Même si lui le trouve imparfait, moi il me plaît tout entier. Je l'aime entièrement comme il est. J'imagine que c'est carrément niais, mais… J'y peux rien. Je l'aime tout entier, je suis accro à lui, il m'a terriblement manqué. Et quand on passe une nuit aussi torride ensemble, j'en aurais presque l'impression que cette séparation n'a jamais eu lieu, que tous les deux, on ne s'est jamais quittés. Okay. Je suis conscient du fait qu'il m'a terriblement manqué mais… La séparation, elle a rien gâché en ce qui concerne l'alchimie qu'il y a entre nous. Mon désir pour lui ne s'est absolument pas fané. Pas même un peu. Pas même à peine. Il me rend fou. Et le fait qu'il réclame de nouveau mes attentions alors même qu'on vient de faire l'amour m'excite d'autant plus. J'aime énormément le voir affamé, je ne pourrais le nier. Tant que c'est pour moi… C'est parfait.

Un grognement s'échappe de mes lèvres au moment où je me sens de nouveau bien au chaud dans son antre. Son corps enserre le mien d'une façon plus que délicieuse. Il est parfait, bon sang… Je ne pourrais jamais me lasser d'une telle sensation. Je crève d'envie de remuer des hanches, mais je sais que je dois rester patient alors… J'me montre sage, j'attends bien qu'il soit prêt à ça. J'ai pas la moindre envie de le brusquer. Je mouille ma main avec de la salive et je la referme juste après autour de l'érection de mon bien aimé. Je recommence à le caresser et à titiller l'extrémité de son sexe à l'aide de mon pouce afin de l'aider à bien se détendre. Je veux lui donner encore plus chaud, je veux le sentir bouillonner de nouveau contre moi. J'ai bien hâte de passer à la suite mais il passe carrément avec moi, c'est sûr et certain. Je presse tout un tas de baisers sur son épaule, je suçote même sa peau, je la lèche pendant que ma main libre se balade sur l'intérieur de sa cuisse, l'une de ses fesses, dans son dos…

« Tu me fais tellement kiffer, Maxime… »

Ouais. Alors même qu'il n'a pas commencé à bouger. Il a juste à exister, à être là, et à ne pas me péter le nez…

I'll do whatever it takesSes attentions me rendent dingue, me font déjà crever de chaud. Que ce soit ses mains qui glissent un peu partout sur mon corps comme si c’était la plus belle chose qu’ils aient vu ou bien que ce soit lorsqu’elle vient doucement glisser plus bas pour me caresser. Je me lèche les lèvres, je ferme les yeux alors qu’un gémissement vient échapper mes lèvres. Je suis déjà bien détendu et j’ai carrément déjà envie de me mettre à sauter sur lui. Je frémis sous ses baisers alors que la main qui ne me masturbe pas me fait frissonner. Je glisse mes mains dans son dos, je me colle contre lui.

« Bordel, toi aussi… » Je lui réponds, la voix rauque. « T’imagines pas à quel point… »

Je grogne doucement avant de me mettre, enfin, à bouger les hanches lentement sur lui. Puis comme on est seuls ici… Je ne me prive pas pour lâcher des soupirs, pour grogner, pour gémir son prénom. Et si j’allais doucement au début, je me mets bien rapidement à sauter sur sa queue comme un affamé, comme si j’en voulais toujours plus. Bordel, j’ai l’impression que je vais mourir, là. Mais clairement, ce serait la meilleure des morts. Et j’en demanderais encore et encore.

« Bouge. » Je grogne doucement dans son épaule. « S’il te plaît… »

J’suis pas vraiment du genre à supplier ou quoi, hein, mais bizarrement, dans un contexte sexuel, j’pourrais toujours le supplier de me donner ce que je veux. Ou de faire n’importe quoi. Faut dire que Sandro, il est parfait. J’suis sûr que même en dehors, il pourrait toujours avoir ce qu’il veut de moi. J’pourrais lui décrocher la Lune et encore plus. Putain… C’que j’aurais voulu pouvoir l’épouser, ce con. J’aurais voulu passer tout l’reste de ma vie avec lui. Passer d’autres nuits aussi torride, n’être plus que chaleur et plaisir entre ses bras, mais c’est pas possible. Parce qu’on est trop… Différents. Mais j’compte bien profiter du moment où il voudra encore d’moi, du moment où il s’ra toujours amoureux d’moi. J’compte bien le faire tellement kiffer et l’aimer tellement fort que même quand il trouvera quelqu’un d’autre, il pourra pas s’empêcher d’se dire qu’avec Maxime, c’était beaucoup mieux. Parce que j’sais que jamais d’la vie, j’pourrais trouver quelqu’un qui pourrait même, au mieux, l’égaler. Il est bien trop parfait pour ça. Bordel, ce que j’le kiffe.

« J’t’aime putain. »

J’fais, je rejette la tête en arrière. J’suis déjà grave sensible, j’serais pas vraiment étonné si j’arrivais pas à tenir longtemps sous ses mouvements de main et avec le fait qu’il bute constamment ma prostate. Bordel… J’pourrais passer ma vie comme ça.© 2981 12289 0

459 mots

I'll do whatever it takes J'aime carrément savoir que je lui fais le même effet que lui me fait. C'est tellement bon de l'entendre me dire que je le fais kiffer aussi. Et quand il se met à bouger lentement en roulant du bassin, ça me fait grogner. C'est bon autant que c'est frustrant. Assez pour être kiffant… Pas suffisant pour autant. J'ai envie de plus, de tellement plus… Et pourtant, je le laisse carrément être celui qui contrôle. Le fait qu'il ait pris le dessus de cette façon, c'est excitant comme pas permis de le sentir bouger sur moi, de pouvoir le regarder faire onduler son corps de la sorte. J'pourrais le laisser faire éternellement. Carrément. Je me gêne pas pour continuer mes caresses puisque j'aime tant le toucher, parce que je veux qu'il apprécie un maximum ce moment à deux.
Un gémissement plus franc s'échappe de mes lèvres quand il se met à carrément sauter. C'est encore meilleur comme ça, de le voir chercher toujours plus de sensation, toujours plus de ma queue entre ses reins. Là, c'est clair qu'il y a carrément plus de frustration du tout. J'halète pendant un petit instant.

« Tout c'que tu veux, bébé… »

Et pour joindre les gestes à la parole, je commence à faire onduler mes hanches sous ses fesses. Je m'enfonce profondément dans son corps. J'enroule un bras autour de sa taille pour le garder près de moi comme si j'flippais à l'idée qu'il s'envole. Putain. T'imagines pas comme j'ai envie de le garder, de plus jamais le voir s'éloigner. J'espère tellement que ma chance ne va pas juste se résumer à une nuit torride dans mes draps. J'espère qu'il va me permettre plus que ça. J'aimerais tellement le récupérer pour de bon… Ce qu'il me dit ce soir me donne tellement d'espoirs, je ne peux que carrément m'emballer alors que… Ca pourrait n'être que dans l'enthousiasme du moment.

« Moi aussi Maxime. »

Je suis parfaitement sincère et je ne peux pas me dire qu'il ne l'est pas. Ca me briserait bien trop le coeur. Je regarde son cou offert, je viens le lécher, le mordre, alors que mes mains s'agrippent finalement de chaque côté de ses hanches. Je le pousse à se cambrer, se coller, se frotter à mon corps alors que je continue de bouger mon bassin sous le sien. Je l'aide à bouger aussi, à mieux s'empaler sur moi. Je prends un plaisir fou dans ce moment que je trouve carrément parfait, mais je fais en sorte de pas craquer trop vite. Je veux tenir, lui donner un maximum de plaisir, le faire jouir. Je l'aime tellement, je veux juste tout faire pour lui. Je pourrais tout faire pour le rendre heureux…

» well... that's awkward (sandrime + joaquin)
» Vampires takes care of each other [RAPH&LILY]