Diana Saunders - i want so much more than this provincial life
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(#) Sujet: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Lun 9 Avr - 19:57
Diana Saunders
Ft. Jennifer Lawrence
Petites infos
Louve
25 ans
4 janvier 1992
Peekskill NY
Maitrise en administration à temps partiel/employé chez Vogue
Personne
Célibataire
Hétéro
Anecdotes
Diana est mélangée dans ses sentiments par rapport à Alexandre. Elle a l’impression d’avoir vécu le syndrome de Stockholm. Elle s’éloigne à retournant aux Etats-Unis. – Arrivée à New York, elle décide de chercher un emploi pour pouvoir l’aider à payer son appartement. La louve se trouve un emploi chez Vogue. Elle est dans la section rédaction et elle s’y plait beaucoup étant une fan de la mode. Elle est extrêmement chanceuse d’avoir trouvé. - Elle a un petit appartement loft qui fait très Pinterest – La jeune femme est venue à New York pour continuer ses études. Elle a été admise à la maitrise en administration à temps partiel. – Elle s’est fait tatoué une lune sur sa cicatrice à la taille. – Elle ne sort jamais sans sa bourse et surtout son téléphone. Il faut toujours être capable de commander une pizza de n’importe où ! - Diana aime la nourriture et cuisine bien même si elle prend rarement le temps de le faire. - Elle n’a pas encore rencontré la meute de New York. – Elle dessine encore secrètement des vêtements et à une machine à coudre dans son appartement. Elle crée des morceaux sur son mannequin. La plupart d’eux terminent soit dans les poubelles ou soit dans le garde-robe à prendre la poussière. Elle n’ose jamais les mettre.
Derrière l'écran
Coucou ! On m'appelle petite sirène sur les internets. J'approche dangereusement du 30 ans. Surprise, je suis québécoise aussi ! Je voyage souvent donc je posterais plusieurs fois des messages d'absence. D'ailleurs, le prochain est à la fin du mois .
Pour recenser
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(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Lun 9 Avr - 19:57
La petite histoire
J’avais toujours fait ce qui me plaisais : courir à la ferme, dans les champs, jouer à habiller mes poupées ou encore nourrir les poules et les chèvres. Je n’avais jamais eu la chance d’avoir des sœurs ou des frères puisque ma mère avait eu un problème après ma naissance : un cancer des ovaires. C’était triste parce qu’à l’époque j’aurais bien aimé avoir un frère ou une sœur. J’avais eu un chien qui m’avait suivi partout à la place. J’étais bien. Je ne me plaignais pas, mais dès mon plus jeune âge, il était évident que je ne resterais pas à travailler à la ferme quand je serai plus veille. D’ailleurs, j’étais plutôt jeune quand Willow arriva parmi nous. Je m’en rappellerai toujours.
Je gribouillais en marge de mon cahier d’exercice de mathématiques. Le vent provenant de ma fenêtre entrouverte faisait valser le rideau blanc de ma chambre. Bouboule, mon berger australien, dormait sur le tapis à mes cotés. C’était un soir de semaine comme les autres chez les Saunders. J’entendais la télévision jouer en bas. Papa devait probablement dormir sur son fauteuil pendant que maman tricotait à ses cotés. Je n’avais même pas besoin d’être là pour le savoir. Je poussai un soupir de découragement avant d’appuyer mon front sur le livre de l’école. Il avait une odeur de placard et je me relevai en faisant la grimace. Quelques voix s’élevèrent du premier étage et avant que je ne le réalise, mes parents passèrent devant la porte de ma chambre avec une petite fille. J’aillai jusqu’à l’entrée de ma chambre avant de regarder mon père me faire signe d’attendre avant de fermer la porte derrière lui.
J’avais patienté de longues minutes cette nuit là avant qu’il ne vienne. Il était venu me voir pour me dire qu’une jeune enfant était venue cogner à la porte et que nous étions pour l’aider. Je n’étais pas certaine que nous puissions le faire : je l’avais entendu pleurer toute la nuit. Les jours qui suivirent, elle ne parlait pas et ne mangeait pas. On ne s’était pas bien entendu au début. Papa et maman m’obligeaient à l’amener avec moi à la ferme. C’était comme ça que j’étais devenue amie avec cette étrangère. On passait notre temps libre à grimper dans les arbres, faire de l’équitation et à jouer avec Bouboule. Finalement, je l’avais eu ma petite sœur. Les journées se passèrent, l’école continuait et l’eau continuait de couler dans les rivières. Vint un temps où mon rêve se réalisait. Une lettre arriva par la poste. J’avais été accepté dans un programme avancé en administration en Italie. Je pliai bagage non sans promettre de garder contact avec eux.
J’avais mes appréhensions à aller là-bas. Je quittais ma famille et mes amis vers quelque chose de totalement inconnu où je ne connaissais personne. Et si je n’y arrivais pas ? Si personne ne voulait me parler ? Si je n’aimais pas mon programme choisi ? Tant de questions m’étaient passées par l’esprit pendant ces longues heures d’avion qu’une fois rendu à destination, j’avais failli remonter immédiatement pour revenir à Peekskill. Cependant, je mettais accrocher à l’idée de vaincre mes peurs et affronter les obstacles. Les premières semaines furent difficiles, mais je m’accrochai. Au bout de quelques semaines, je m’étais fait de nouveaux amis et avais déjà remis des travaux. Je prenais soin d’écrire aussi à ma famille et spécialement à ma sœur qui me manquait beaucoup.
Les semaines devinrent des mois et se fut la fin de l’année. Ce n’était pas trop mal. J’avais bien réussi. J’aurais préféré avoir plus parce que bien n’était jamais assez. Je voulais du parfait. J’imagine que j’aillais devoir attendre à l’année prochaine pour faire mes preuves. J’étais censée retourner aux USA pour les vacances, mais mes nouvelles amies m’invitèrent à passer le début du congé avec eux. J’avais accepté en me disant que je pouvais toujours aller avant le début des cours voir ma famille. J’avais bien trop envie de visiter la campagne italienne pour ça. J’étais bien loin de me douter de l’enfer qui se présentait à ma porte.
Été 2011
« Je te l’avais dis qu’on avait une crevaison » dis-je en ouvrant le coffre arrière. Mes amies ne m’avaient pas cru au début, mais à présent on pouvait clairement lire la détresse sur leur visage. « Je ne comprends peut-être pas encore les rondpoints, mais je sais changer un pneu, » rajoutai-je en sortant les bagages du coffre arrière. Elles vinrent m’aider alors que je montais le véhicule pour poser la roue de secours. Le plus compliqué restait à venir. J’étais en train de sauter sur la barre pour que la noix de la roue se dégage quand une voiture s’arrêta à notre hauteur. Un groupe de jeunes garçons italiens sortirent du véhicule en nous proposant leur aide. Ils étaient agréables du regard alors pourquoi pas ! Ils me seraient plus utiles que mes amies tout de même. « Votre aide serait la bienvenue » leur répondis-je en souriant. Et voilà que quelques minutes plus tard, nous avions repris la route et on se dirigeait vers une boite de nuit avec eux pour finir la soirée.
La musique était forte et l’ambiance était bonne. Les gens présents se déhanchaient comme s’il n’avait pas de lendemain. J’étais loin de me douter que cette nuit allait être chambouler le reste de ma vie. J’embrassais vigoureusement un certain Alexandre quand nous franchîmes la porte arrière du club. Un endroit plutôt tranquille où l’on croyait être seule. J’enlevai son chandail et mes lèvres rencontrèrent les siennes à nouveau. Mes mains se prélassèrent sur son torse où je sentais ses muscles. Mon chandail s’envola aussi en un mouvement. Il déboutonna son pantalon et avant qu’on ait plus loin, une voix destinée à mon amour d’un soir d’été s’éleva du fond de la ruelle. Comme si cela allait faire toute la différence à se faire prendre à s’envoyer en l’air, je me cachais avec mes mains. Ces deux-là semblaient devoir régler un différent. « J’vais vous laisser en » dis-je en tentant de m’éclipser.
C’était comme ça qu’en quelques secondes il y avait eu les amis d’Alexandre à ses cotés et encore plus d’ennemis à l’opposé. Je m’étais retrouvée en plein milieu du brouhaha. Pour être honnête, je n’y avais pas vu beaucoup Des gros chiens semblables à des loups et des hommes qui se battaient pour je ne sais quelle raison. C’était ainsi que j’avais été infectée sans le savoir parce qu’en quittant, j’avais une blessure qui ressemblait à un coup de griffe qui déchirait le coté de ma jupe. J’avais couru dans la ville aux petites heures du matin en brassière avec une jupe pleine de mon sang jusqu’à notre auto. Mes amies et moi étions paniquées et j’étais allée à l’hôpital pour avoir des points de sutures avec des antibiotiques pour ne pas être infectée. Après cette soirée haute en émotion, on retourna à l’université parce qu’elles comme moi, n’avions plus envie de poursuivre ses vacances.
Je retournai dans ma chambre à l’université. La semaine passa après l’incident sans vraiment d’encombre. L’école n’aillait pas recommencé avant plusieurs semaines alors je n’étais pas trop stressée. Je marchais en fin de journée de retour de l’épicerie quand on m’interpella. En fait, je n’avais pas vraiment le temps de réagir puisque je me faisais enfermer. J’aurais dû suivre le conseil de mes parents et ne jamais quitter le nid familial ! J’étais dans le coffre d’une voiture sportive assez luxueuse. J’avais crié, frappé, tenté de défaire les lumières pour sortir mon bras et signaler aux autres voitures qui roulaient, rien y faisaient. Une chose restait certaine, j’avais essayé à en avoir les jointures en sang. Je ne savais pas combien de temps c’était écoulé, probablement assez pour que je sois épuisée, perde connaissance où que je m’endorme. Je ne savais plus trop, mais je ne me réveillais pas dans le coffre d’une voiture en tout cas. J’étais dans une pièce avec comme seule lumière une fenêtre trop haute pour que je puisse l’atteindre. Il y avait bien une porte qui était fermée à clé. J’appelai à l’aide et je frappai à nouveau sur la porte de toutes mes forces. C’était seulement à ce moment-là que je remarquai que mes jointures n’étaient plus couvertes de sang, mais presque cicatrisées. C’était plutôt bizarre tout ça. Je sombrais dans la folie. J’avais été amené dans un asile. Voilà où j’étais ! Ma famille était pour venir me rendre visite en pleurant que l’Europe m’ait fait perdre la tête ! Je ne pourrais plus jamais grimper aux arbres avec ma sœur ! La panique s’était emparé de moi il y avait bien longtemps.
Heureusement, je n’avais pas eu à attendre bien longtemps. La nuit avait rapidement tombé. La lune avait vite fait de se montrer le nez tout comme ma nouvelle apparence. La première fois fut terriblement douloureuse. En fait, je me rappelais seulement de la douleur et de mon réveil le lendemain. Mes yeux s’étaient instantanément posés sur les murs griffés de la pièce. Par la suite, je remarquais vu le jeune homme assis dans un coin. En fait, je le connaissais ! C’était le gars avec qui j’avais presque baisé ! Il lui avait tout expliqué après. J’avais appris qui j’étais devenue et serais toujours à présent. Je ne pouvais pas dire que cela m’avait enchanté au début, mais je m’y fis à la longue. J’avais aussi appris que mon nouvel ami était le fils du chef de la meute, fils de deux loups. En fait, il avait deux ans de plus que moi et passait son été à leur résidence secondaire. Sa famille était riche grâce à l’entreprise pour laquelle il venait tout juste de commencer à travailler officiellement. C’était comme ça que moi aussi j’avais été forcé au début et ensuite amené à passer mon été là-bas. J’avais appris beaucoup sur le monde obscure et toutes ces créatures. Sa famille remontait à plusieurs générations de loups. On pouvait dire que j’étais bien tombée dans ma malchance.
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Voilà que s’installa notre routine : école la semaine et fin de semaine à la campagne. Notre amitié grandit et je trouvai en lui un complice. Était-ce simplement de l’amitié ou y avait-il toujours cette attirance ? Même si j’étais heureuse, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ma famille qui n’avait pas eu de mes nouvelles depuis des mois voir même quelques années. Comment aurais-je pu leur expliquer tout ça ? Peut-être valait-il mieux les tenir à l’écart ? Ils étaient probablement mieux ainsi : à l’abri. Je graduais avec honneur comme j’étais sensée. Cependant, je me sentais incomplète. J’étais mélangée dans mes sentiments et dans ma vie. J’avais fait la demande pour une maitrise à l’université de New York et on m’accepta sans problème. C’était de cette façon que j’étais retournée aux États-Unis. J’aurais aimé aller voir Peekskills, mais je ne pouvais pas prendre le risque.
Willow C. Saunders
Children of Raziel
♦ Age : 32 ♦ Date de naissance : 02/11/1991 ♦ Autres comptes : Breanna & Cara & Maia ♦ Runes : 293 ♦ Messages : 243 ♦ Date d'inscription : 14/07/2017♦ Everything and anything : Believers, look up - take courage. The angels are nearer than you think.
Wings, afar. My eyes do not want to believe what I already know. Angels. They are closer than what I thought possible, and their harp seem to illuminate my soul.
(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Lun 9 Avr - 20:32
MA SOEUR D'AMOUR! OMG, TU FAIS UNE HEUREUSE DE MOI!
(pas assez de smileys pour exprimer ma joie!) Bonne chance pour ta fichette, et puis si jamais tu as des questions, n'hésite surtout pas!
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(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Lun 9 Avr - 20:52
Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche, puis si tu as la moindre question, tu sais où nous trouver En tout cas tu fais une heureuse !
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(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Lun 9 Avr - 21:10
@Willow C. Saunders OUIIIII J'ai craqué pour ton scénario finalement Merci je te fais signe si jamais
(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Mar 10 Avr - 7:11
Jennifer Lawrence !!! Omg !!! Love you ♡♡♡
Et sinon bienvenue et bon courage pour .... ce qu'il te reste de ta fiche
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(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Mer 11 Avr - 1:27
Jeremiah S. Williams a écrit:
Bienvenue !
Merci
Alexander Lightwood a écrit:
Jennifer Lawrence !!! Omg !!! Love you ♡♡♡
Et sinon bienvenue et bon courage pour .... ce qu'il te reste de ta fiche
Merci oui j'ai presque fini
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(#) Sujet: Re: Diana Saunders - i want so much more than this provincial life ♦ Mer 11 Avr - 13:09
Tu es validé !
Ta fiche est parfaite, et vu que Willow est ok, j'te valide J'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec cette petite, en tout cas, elle a énormément de potentiel je pense ^^ Amuses toi bien parmi nous, et encore bienvenue
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Bienvenue parmi nous le newbie ! Tu es maintenant promu au rang d'Enfant de la Lune, c’est la classe, avoue ? Si jamais tu as des questions, Raphaël et Clary sont là pour t’éclairer, et n’hésite pas à nous harceler ! Maintenant, n’oublie pas de faire ta fiche de liens et ta fiche de rp, sans oublier de recenser ton logement et ton métier. Puis une fois que tout ça est fait, pour demander des rps, c'est ici. Quant aux runes, les recenser ici et les dépenser là. Si ça te bottes, tu peux aussi demander un rang par-là. e plus, n'oublie pas de recenser ta meute par-là ! Et n'hésites pas à nous rejoindre sur Discord u encore à venir participer à l'intrigue des Créatures Obscures ou le procès de Valentin ! Voilà, voilà, c’est tout ! J’espère que tu va te plaire chez nous !