Il est bon cuisinier, en fait, il est bon dans beaucoup de choses, beaucoup se demandent ce qu'il ne sait pas faire, ce à quoi, il trouvera toujours une réponse. Il est plutôt mauvais danseur, et ce n'est pas parce qu'il est maladroit, vu qu'il ne l'est pas, encore moins raide ou quoi que ce soit de ce genre. C'est juste qu'il n'aime pas particulièrement ça. Il ne lui a jamais été donné d'apprendre non plus et refuse donc de se retrouver sur la piste de danse, autant parce qu'il n'a pas envie de s'y adonner qu'il ne voudrait pas se retrouver trop bête en écrasant quelques pieds. Selon la plupart de la gente féminine, il se trouve être charmant, parfois drôle, malgré son passé assez troublant. Sa personnalité étant à elle seule un mensonge, il pourra vous aveugler sous ses airs de bon garçon, généreux, fraternel, calme avec une pointe de naïveté innocente puis, vous trancher la gorge dans la seconde qui suit. Il n'a jamais connu d'échec dans son rôle, ne se faisant jamais découvrir avant qu'il n'en ait fait le choix, rôle qu'il a sut revêtir et garder tout au long de son existence, comme une seconde personnalité amovible. Sous cette façade, il n'est qu'un monstre transcrit par la violence et la haine. Cette facette de lui dévoilant sadisme et cruauté, principalement en présence de son paternel ou quand quelque chose lui fait un peu trop de résistance. Jonathan a été élevé pour devenir un psychopathe froid, sans cœur et assoiffé de sang, trouvant du plaisir dans la souffrance et la mort par des pratiques de tortures féroces, barbares et inhumaines. Passé maître dans l'art de la manipulation et des mensonges. Il se montre simplement comme quelqu'un de cruel, spécifiquement vindicatif et arrogant, ne se familiarisant avec la sympathie, la compassion et l'intérêt pour les autres que pour de rares personnes qui partage son existence, notamment son père, contre toute attente.  Il apprend de ses propres moyens, sans ressentir le besoin d'ouvrir un bouquin pour savoir comment ça marche. Il enregistre beaucoup mieux en observant, développant la capacité de copier le savoir faire des autres avec une simple démonstration de ces derniers.  Son passé transpirant la solitude qui l'a longtemps rongé, il a beaucoup de moeurs et principes à apprendre en ce qui concerne la sociabilisation. C'est un garçon qui ressent le besoin d'être dans les rangs, comme pour ne plus être seul, tout en voulant en sortir et conserver ses traits qui font de lui un être à part. Une petite partie de lui est restée l'enfant en quête de reconnaissance et d'amour qu'il était par le passé et reste affligé par la crainte de ne rien être d'autre qu'un être solitaire considérée comme paria.