hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella
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hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella
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(#) Sujet: hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella ♦ Jeu 8 Fév - 21:01
ft.
QUESERO
Gabriella
hit the dance floor, i got all i need
Sourire aux lèvres, lèvres écarlates, perchée sur des talons vertigineux, portant à bout de bras comme s’il s'agissait d’un trésor deux verres déjà remplis d’un étrange liquide à la riche couleur sombre, Lily fendait avec énergie la foule qui la cernait de tous les côtés. Elle n’hésitait pas à écraser quelques pieds au passage, filant telle une flèche après coup, refusant de s’attarder pour écouter leurs doléances, sinuant avec aisance entre les danseurs. Elle avait abandonné Gabriella dans une sorte d’alcôve, à l’abri du bruit et des regards indiscrets, le temps d’aller chercher quelques rafraîchissements à la sauce vampire, sang frais garanti (l’avantage des établissements tenus par des Créatures Obscures !). Elle sourit en se remémorant le texto providentiel qui l’avait arraché à sa morne soirée. Un bourdonnement familier l’avait tiré de ses réflexions et une invitation rédigée en des termes alléchants s’était affichée sur l’écran de son téléphone, accompagnée d’un numéro qu’elle n’avait été que trop heureuse de reconnaître. Gabriella, Gaby, Gabe. Elle avait pianoté une réponse rapide (yes !!! suivi d’une dizaine d’emoji), avait enfilé sa plus belle robe de soirée, mains manucurées, visage maquillé, cheveux coiffés et Gabriella à côté d'elle. Direction, le club Pandémonium.
Dire que Lily était contente de s’être dénichée une amie comme Gabriella relevait d’un euphémisme. Le lien qu’elle partageait avec les membre de son clan, avec Raphael, était certes profond, courrait sous sa peau, l’enchaînait à eux. Leur protection passait avant tout. La plus belle prison du monde. Mais il existait entre Gabriella et elle une certaine légèreté qui lui permettait de reprendre pied, de s’offrir un répit entre deux catastrophes à gérer, jolies tenues, chasse à l’ennui, discussions survoltées, virées insouciantes. Pas de complexes ! Pas de prise de tête ! Et pas de plan foireux qui pourrait mettre en danger son intégrité, Gabriella n’étant pas d’une nature mauvaise.
Que demander de plus ?

Ses yeux se posèrent sur la silhouette illuminée de Gabriella, tantôt rouge, tantôt bleue, tantôt verte, selon les caprices des éclairages du night-club. Elle se dépêcha de la rejoindre, se glissa sans bruit à sa gauche et lui fourra avec autorité son verre dans les mains puis but une généreuse gorgée du sien, non sans avoir auparavant lancé à son amie un retentissant : « Je suis tellement contente d’être ici, t’as pas idée ! ». Sur un ton plus confidentiel : « J’en avais besoin, je crois. Merci. » Le goût désormais si familier mais toujours aussi savoureux et enivrant du sang tapissait sa gorge, décuplait son euphorie. Elle inspecta le visage de Gabriella, cherchant à y déceler le reflet de la joie simple, juvénile, rafraîchissante qu’elle ressentait à l’heure actuelle. Ses doigts tracèrent, appliqués et précis, le contour du rebord de son verre, comme si elle espérait pouvoir cueillir les réponses à toutes ses questions dans son fond, aussi facilement que ça. Tout d’un coup, elle sourit, franche et spontanée comme elle se permettait rarement de l’être, et s’empara du bras de Gabriella avec une familiarité déconcertante.

Le volume était si fort que des picotements électriques semblaient parcourir son corps des pieds à la tête tandis qu’un puissant vrombissement résonnait entre ses oreilles à pleine puissance. Elle aurait pu s’y noyer sans se soucier de rien si la présence constante de Gabriella ne l’ancrait pas fermement dans la réalité.
Lily adorait cette ambiance.

« Allez, dis-moi tout, lui demanda-t-elle en haussant la voix, histoire se faire entendre malgré la musique. Qu’est-ce qui t’occupe, ces temps-ci ? »
Gabriella pouvait être une vraie drama queen quand elle s’y mettait. Cela faisait en général très bon ménage avec l’amour immodéré de Lily pour les potins, les ragots et les rumeurs en tous genres (déformation professionnelle, que voulez-vous). La jeune auteure avait trouvé un excellent public en la personne de la right-hand woman, un public qui prenait des notes et l’encourageait à continuer, une lueur malicieuse dans les yeux.
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(#) Sujet: Re: hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella ♦ Dim 11 Fév - 16:27

Hit the dance floor, I got all I needT’as pris soin de te faire belle comme à chaque fois que tu sors avec Lily. T’as mis ta plus belle robe, la plus moulante, peut être la plus courte, la plus sexy, t’as mis tes talons les plus haut, t’as coiffé tes cheveux de la plus belle façon possible, puis t’as pas lésiné sur le maquillage, même si faut pas croire, t’en a pas mis de tonnes non plus. T’as mis tes yeux en valeur, t’as coloré tes lèvres et voilà, pour toi, t’étais parfaite. Tu le savais, t’allais attirer les regards, les gens allaient te regarder, t’aimais ça. T’avais toujours aimé, même si c’était plus pareil depuis que c’était plus ton amour qui le faisait. Et en même temps, réduit en cendre il pourrait avoir un peu de mal pour ça.
Enfin, clairement, c’est pas le moment pour toi de penser à ce genre de choses, là, dans l’immédiat, tu dois passer un bon moment avec l’une de tes meilleures amies, une fille que t’adore.

Aujourd’hui, t’arrivais pas à écrire, syndrome de la page blanche comme on dit, t’étais tendue sans même savoir pourquoi et ça te bloquait, donc t’avais décidé de lui envoyer un petit message pour lui proposer une sortie, parce que t’aimais passer du temps avec elle. Tu pensais que t’allais rentrer de meilleure humeur et que tu serais plus opérationnelle le lendemain, et c’était pas un mal, parce qu’il fallait que tu te remue vu que ton éditeur te mettait la pression pour que tu finisse la suite de ton bouquin. Quand t’y pense, au final, c’est peut être ça qui te mettait dans cet état et qui t'empêchais d’écrire quoi que ce soit de correct.
T’attendais Lily qui était parti vous chercher à boire. T’es adossée au mur, l’un de tes pieds appuyé contre celui ci et tu regarde les gens qui s’agitent devant toi sans la moindre pudeur, tu rends les sourire qu’on t’offre avant de poser les yeux sur ton amie quand celle ci te colle ton verre dans la main, t’as baissé les yeux pour le regarder plusieurs seconde avant d’en boire plusieurs petite gorgée. Franchement, rien de tel qu’un peu de sang pour te requinquer. Tu te sens de suite un peu mieux. Tu te redresses, la regarde lorsqu’elle te parle et sourit largement. « Oh moi aussi, t’imagine même pas. » Tu lui lance simplement. Parce que ouais, t’es contente d’être là, et toi aussi t’en avais vraiment besoin. Il y a rien de tel qu’une soirée au Pandemonium pour oublier tous les soucis de sa vie.

Quand elle t’attrape le bras, tu cherches pas vraiment à te débattre. Ce genre de contacts ne te gênent pas le moins du monde. Quand tu l’entends te poser sa question, tu ne peux pas t'empêcher de rire. Toujours aussi curieuse cette femme, ça a toujours été quelque chose qui te plaisait. Avec elle, tu pouvais toujours parler de tout, tu trouvais ça vraiment cool. « Alors figure toi, que j’bosse sur la suite de mon dernier bouquin. » Je commence par lui dire, l’air de rien, je passe ma main dans mes cheveux, je souris avant de légèrement plisser le nez. « Mais mon éditeur me tanne pour que je finisse vite, alors je pense que la sortie aura du retard. » Parce que je suis encore bien loin de la fin que je vois, et que s’il continue de me pousser comme ça clairement, ça va pas la faire. « Oh, et il y a quelque jour, j’ai recroisé un mec que je connaissais quand j’étais vivante, j’ai cru rêver, je l’ai connu il était encore tout jeune, enfin, c’était il y a 6 ans seulement mais, j’ai pas réussi à le reconnaitre, c’est dingue. » Quand même, je pensais pas recroiser des gens qu’i connu avant, alors que je vis toujours dans la même ville, font ça semble logique que ça arrive.. « Et toi alors ? Quoi de neuf dans ta petite vie ? »
©️ Justayne
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(#) Sujet: Re: hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella ♦ Mer 14 Fév - 12:42
ft.
QUESERO
Gabriella
hit the dance floor, i got all i need
Comme toujours, Gabriella s’était mise sur son trente et un, revêtant ce qu’elle possédait de mieux comme fringues, devinant avec une sorte d’instinct fondamental, fascinant ce qui la mettait en valeur. Lily admirait son dévouement, son attachement à la mode, réel plaisir pour les yeux à en croire les regards qui flottaient sans oser se poser franchement sur ses jolies formes. Ils étaient tous un peu éberlués, hésitants car intimidés. Cela lui arracha un sourire amusé, par-dessus l’épaule de Gabriella. Lily aimait aussi se pomponner, à l’occasion, comme ce soir. Elle portait beaucoup de bijoux, se maquillait et assortissait sa robe à la couleur de son rouge à lèvres. Cela lui rappelait ses vingt ans, quand la jeune Lily, petite humaine très ambitieuse malgré les chaînes à ses pieds, se surprenait à rêver de luxe et de paillettes sous le ciel flamboyant d’un automne au soleil tardif. Elle avait essayé d'être belle lorsqu’elle filait écumer les bars fréquentés par les autres émigrés, de rafistoler ses robes défraîchies pour partir à la chasse au mâle et à la femelle.
Combien de chemin avait-elle parcouru…

Entendre Gabriella affirmer qu’elle partageait son enthousiasme fit naître un sourire sur ses lèvres. Elle leva son verre en un simagrée de toast. Tout en l’écoutant parler de son prochain livre, les caprices de son éditeur, elle but une gorgée de son verre. Lily sentit le liquide écarlate réchauffer sa gorge. Le nez de Gabriella se plissa légèrement, signe annonciateur de son agacement, de son impatience, ce qui la fit rire. Elle aurait pu sincèrement plaindre son éditeur, si elle avait eu dans son cœur un brin de compassion pour lui. Mais elle ne le connaissait pas. Tant pis pour lui.
« Assure-toi d’en envoyer une cinquantaine d’exemplaires à l’Hôtel Dumort, lui dit Lily en ne plaisantant qu’à moitié. Je signerais le chèque avant que quelqu’un ne décide de jouer les rabat-joie et ne m’en empêche. » Elle ne doutait pas du succès de son amie mais cela ne voulait pas dire pour autant qu’elle ne se soutiendrait pas son business du mieux qu’elle le pouvait. « Et s’il te plaît, ne tue pas ton éditeur, fit mine de la supplier Lily en affectant un ton traînant, ennuyé, destiné à déclencher le rire. Même s’il n’arrête pas de te houspiller. Par contre, tu as tout à fait le droit de lui faire peur. »

Elle n’aurait pas pu s’empêcher de l’avertir, d’un ton mi-plaisant, mi-sérieux. C’était devenu un réflexe. L’un des rares désavantages de sa position, c’était d’avoir parfois (souvent) affaire à de véritables enfants dont les étranges lubies lui inspiraient le besoin de leur dire même les choses les plus évidentes clairement, de peur qu’ils ne fassent la bêtise en question. Elle ne voulait plus subir leur défense puérile qui constituait essentiellement à gémir “mais tu ne m’avais pas dit !” alors maintenant elle prenait les devants. Des enfants, j’vous dis.

Son anecdote, lâchée en toute innocence, en toute légèreté, déconcerta Lily plus qu’elle ne l’aurait cru, en partie parce que ce genre de choses ne lui arrivait plus depuis longtemps. Depuis presque un siècle. Elle avait tendance à oublier que Gabriella était beaucoup plus jeune qu’elle. Cette pensée lui fit froncer les sourcils. Lily n’ignorait pas qu’elle avait eu son lot de drames, aussi, même si elle ne s’était jamais hasardée à lui poser la question directement. Elle la respectait trop pour envahir son intimité sans y être invitée. « Six ans, murmura Lily, rêveuse. Et lui, il t’a reconnu ? ajouta-t-elle, poussée par une curiosité enfantine. » Six ans, ce n’était rien. C’était tout. C’était le début de l’éternité.

Lorsqu’elle lui retourna sa question, Lily balaya ses préoccupations d’un geste de la main : « La politique. Je ne vais pas t’ennuyer avec ça. Le Monde Obscur est en ébullition. Rends-moi un service, fais gaffe à toi, ça m’évitera d’avoir à m’inquiéter pour quelqu’un d’autre. » Sans le dire, c’était une preuve de confiance qu’elle lui accordait. Mais si la situation l’exigeait, elle répondrait présent, bien sûr. Elle pouvait difficilement renier ce qu’elle était.
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(#) Sujet: Re: hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella ♦ Dim 4 Mar - 17:21

Hit the dance floor, I got all I needQuand elle lève son verre, tu la suis, un large sourire sur les lèvres. Tu tape légèrement ton verre contre le sien. Tu lui parle, comme elle l’attends, tu lui raconte un peu ta vie comme t’aime le faire, non pas que t’aime spécialement parler de toi ou quoi, t’aime juste qu’on m'écoute, qu’on s'intéresse à toi, et même si ça peut sembler assez prétentieux, ça ne te pose pas le moindre soucis, tu es comme tu es, et tu l’as toujours assumé, puis, tes amis t’aiment comme ça. « Une cinquantaine ? Compte sur moi ! » Ca fait plaisir de se dire qu’elle en veut pour les gens du DuMort. « Oh, ce fameux rabat joie, je suis persuadé qu’il est secrètement fan de mes ouvrage et qu’il attends le suivant avec impatience. » Tu ris légèrement, t’en doute un peu, a vrai dire, tu vois mal Raphael lire ce genre de récit, tu vois même mal Raphael lire en général, mais qui sait, peut être qu’il est un grand fan de littérature. Mais en secret, comme tu l’as dit. T’as légèrement rit quand elle a enchaîné. Ouais, c’est vrai qu’il ne vaut mieux pas que tu le tue, après tout, sans lui, t’aurais quand même beaucoup de mal à sortir tes bouquins s’il n’était pas là, puis, sans ces conseils, ils seraient probablement un peu moins bon.
En y repensant, le seul qu’il n’a jamais voulu modifier, c’est ton récit biographique, bien que personne ne sache qu’il s’agisse de ton histoire, il fait croire que les histoire pleine d’être surnaturel, et clairement dramatique, ça plait.

Enfin. T’as quand même fini par parler. « Non, je te promets de l'épargner et d’être sage pour qu’il continue de m’aider avec mes livres. » Tu lui adresse un sourire, tout simplement, t’es quand même une personne assez réfléchie, tu le sais que tu dois surtout pas s’en prendre à lui. Tu veux pas perdre ton boulot, c’est quand même ce qu’il te permet de vivre ta vie sans avoir à sortir le jour en ayant un vrai boulot.

T’as fini par lui parler de tes retrouvailles avec Maxime. C’était quand même quelque chose qui t’étais tombé dessus sans que tu puisse t’y attendre, à vrai dire, tu n’aurais jamais pensé revoir tes anciens amis.. « Oui, il m’a reconnu. En même temps, quand j’étais encore vivante, on était assez proche, on s’entraînait ensemble, je m’en souviens très bien, et lui aussi, visiblement. » Ca t’as un peu chamboulée de le revoir, tu l’avoue sans problème, ça a fait ressurgir de bons souvenirs de ta vie, les bons moment que tu as pu passer avec ta famille, avec tes amis avant que tout ne change et qu’on ne t’assassine pour les choix que tu as fait. « Ca m’a fait vraiment plaisir de le voir. » Mais pas autant que le fait que malgré son appartenance aux cerle, il avait décidé de m’épargner.

Quand j’ai entendu ce qu’elle me disait ensuite, j’ai légèrement froncé les sourcils, toutes ses histoires semblaient la préoccuper. « Eh bien, si jamais tu veux en parler, n’hésite pas. » Après tout, même si de base, tu ne t’y intéresse pas du tout, ça te concerne quand même un peu toute ces histoires.. Alors peut être que ça serait pas plus mal que tu sois un minimum renseignée. « T’en fais pas, je te promets de faire attention. » Tu sais qu’elle a déjà tout un clan dont elle doit se soucier, alors tu ne vas encore lui rajouter quelque chose. T’es pas comme ça. T’as regardé ton verre, l’a terminé rapidement et l’ai posé sur le plateau d’un serveur qui passait derrière avec un plateau déjà plein de verres vides. « Comment va le clan ? Raphael est toujours d’aussi mauvaise humeur constante ? » Enfin, pas forcément de mauvaise humeur, mais je sais qu’il n’est pas toujours des plus joviale et qu’il a tendance à râler assez souvent, je me demande si ce genre de personne est supportable.
©️ Justayne
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(#) Sujet: Re: hit the dance floor, i got all i need | Lily&Gabriella ♦ 
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