Joaquin était chargé de courses ce jour-là, il était donc partit tôt avec la liste de courses et des sas pour aller les faire. Le brun se balada dans les rayons en trainant les pieds, détestant ce moment de la semaine... Il fallait qu'il achète ce qu'il faut pour la semaine et si il oubliait, HOP il devait y retourner... Rien de plus chiant.
Il voulait bien entendu le bonheur de son parabatai, sa moitié, mais il y avait des limites à la connerie non? Ne dit-on pas alors que se remettre avec son ex, c'était comme manger à nouveau son vomis? Le jeune homme ne supportait pas Sandro, ce salle type qui avait jeté Maxime comme une grosse merde, Joaquin avait alors passé des heures, des jours et des semaines à consoler son parabatai, plus il passait de temps à consoler ce jeune homme, plus il détestait Sandro.
Alors quand il rentra des courses, le jeune homme entra les bras chargés, et claqua la porte avec l'aide de son pied avec un soupire. Il posa ensuite ses courses et posa les yeux sur le couple.
Ah non. Hors de question.

C'est une plaisanterie rassurez moi? Qu'est-ce qu'il fout là? Et surtout, qu'est-ce que ta langue fout dans sa bouche?

Il haussa les sourcils en les fixant, refusant de comprendre ce qu'il se passait alors que l'évidence était devant ses yeux. Une blague. Ce n'était qu'une putain de blague. Joaquin était son parabatai, il savait à quel point Maxime était heureux, il le ressentait bien mais il imaginait que son "frère" avait trouvé un homme. Oui, un homme, parce que Sandro n'était pas un homme, c'était un enfoiré lâche et idiot aux yeux du jeune homme qui passa la main dans ses propres cheveux pour les remettre en place, il n'arrivait pas à y croire.

Sérieusement Maxime?