[HOT] SANDRIME ♦ i'll do whatever it takes

I'll do whatever it takes La frustration est bien présente. Vraiment. J'ai l'impression qu'il n'y a aucune solution pour nous. J'ai l'impression qu'il n'y a pas d'issue à cette sale situation.

« Et ben moi j'y peux rien si je comprends pas sans que tu m'expliques. On dirait bien qu'on est coincés. »

Je parle clairement, j'ai toujours été plus calme que Maxime, et bien heureusement. Un mec comme Maxime face à Maxime, ça serait clairement catastrophique. Un putain de bain de sang à l'arrivée, pour sûr. Heureusement qu'on a toujours sû s'équilibrer lui et moi. Mais là… Là, j'crois que ça passe plus. Et c'est carrément chiant, il faut dire ce qui est. En plus, il m'a carrément vexé franchement.

« Ouais ouais, c'est ça. » j'réponds.

Je l'ai pas agressé, mais j'ai peut-être été un peu sec. En même temps c'est lui qui m'a traité de con, il m'a carrément bien fait comprendre que j'étais stupide. Alors ouais, j'ai un peu les nerfs. Et le fait qu'il se contredise juste après, ça suffit pas vraiment. Il essaye de vaguement se rattraper sans vraiment que je sache si c'est sincère ou pas. Et j'crois qu'au fond je m'en fiche un peu. Ouais. Les justifications c'est plus vraiment ce qui m'intéresse, je suis gavé.

« Trop tard. »

Pour moi, c'est pas un regret d'avoir connu ses plus beaux côtés. Il faut dire que j'aime énormément ce que je connais de lui. Ouais. Mêmes ses défauts, ils me paraissent minimes par rapport à combien je l'aime. J'arrive pas à me dire qu'il se peut vraiment que je le connaisse si peut. Qu'il se peut vraiment que Maxime, il soit vraiment quelqu'un de mauvais. J'peux pas croire ça. J'peux pas me dire ça. Alors non, même encore quand il me parle de l'être qu'il a éliminé sous mes yeux, je nie. Et comme j'reste toujours bien en confiance avec lui, je le ramène même chez moi.

Par chance, Maxime a été compréhensif quand j'ai parlé de ma mère. Il a compris que je voulais pas lui donner plus de détails, et c'est un bon point déjà. Et ce qu'il m'a dit, ça m'a touché. « Ca serait bien, si tu pouvais rester. », ça veut bien dire qu'il veut que je reste pas loin de lui, hein ? Je me mords le bord de la lèvre inférieure pendant un instant.

« Ouais… » j'dis doucement, carrément d'accord avec lui.

En sachant que lui va probablement rester ici, il est certain que moi aussi j'ai envie de rester. J'ai pas la moindre envie d'encore me barrer de là où il est. Et bien qu'on soit plus ensemble, j'ai plus envie de m'éloigner. J'ai plus envie d'être loin de lui. Et je lui dis carrément que, ouais, personne n'est à son niveau et que je veux personne d'autre que lui. Et clairement, j'ai cru qu'il allait m'envoyer bouler, me faire comprendre que j'en fais trop, que j'en dis trop, que je ferais juste bien mieux de bien fermer ma gueule. Non. Il m'a demandé confirmation, et il m'a même pas laissé lui répondre. Je me suis senti poussé vers lui. Sous la surprise, j'ai même pas pensé à essayer de me retenir, je me suis écrasé contre lui tandis que nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres par la suite. J'ai cru que mon coeur allait s'arrêter. Vraiment. J'me sens au bord de l'attaque, et pourtant… J'aime tellement ce que je ressens. Le goût de ses lèvres mêlé à celui de l'alcool et leur douceur, c'est… Unique, inimitable. Tellement bon. Je ferme les yeux et me décide, après quelques secondes de suspens, à lui répondre ce baiser. Je me redresse un peu pour me coller bien volontiers à Maxime. Ce baiser, je l'attends tout bonnement depuis la seconde à laquelle on a arrêté de s'embrasser la dernière fois qu'on l'a fait. Je pourrais me dire qu'il faut arrêter, que c'est peut-être pas une bonne idée mais… Sincèrement, comment je pourrais ? Comment je pourrais ne pas continuer d'embrasser l'homme que j'aime ? Ca fait tellement de bien… Et mon coeur, il bat si fort qu'il m'en fait presque mal. Il est tout serré. Comme si je savais pas quoi penser. Alors que tout ce à quoi je veux penser : c'est que je l'ai retrouvé. J'ai pas envie de songer à l'enclume que je vais sûrement me prendre dans la gueule à un moment où à un autre. Je m'accroche de toutes mes forces à mon beau géant, me glissant sur ses cuisses pour être au plus près de lui. Je l'embrasse jusqu'à plus en pouvoir, vraiment. Et même après je l'embrasse encore. Encore.

Et puis je finis par souffler : « Pour de vrai… »

I'll do whatever it takesJe rajoute pas vraiment quoi que ce soit là-dessus, sur notre dispute. Il faut dire que bon… J’vois pas l’intérêt de rajouter de l’huile sur le feu. J’me dit que j’vais plutôt prendre sur moi comme il le fait pour pas commencer à m’engueuler comme pas possible. J’vous jure, j’sais pas comment il fait pour toujours garder son calme, mais j’me dis que c’est pas plus mal parce que si on était tous les deux entrain de s’engueuler à mort… J’crois qu’on s’arrêterait jamais et c’est carrément pas ce dont j’ai envie. Et j’pense que lui non plus alors… On va arrêter le massacre maintenant. Ce serait carrément pas plus mal.
Donc… On finit par se calmer et on se retrouve chez lui. Puis on parle, pas méchamment. Juste… Normalement. C’est pas plus mal en fait qu’on fasse que ça. Qu’il y ait pas d’engueulades, que personne hausse le ton. Je saurais pas vraiment ce que je pourrais faire si on commençait à nouveau à s’engueuler. Probablement que je me barrerait rapidement. J’prendrais mes jambes à mon cou et j’le fuirait comme la peste, comme le cholera. Mais ça s’passe bien entre nous. Carrément bien, même. Je hoche la tête quand il dit ouais, j’ai pas vraiment grand chose à ajouter là-dessus, en fait. Par contre, sur ce qui suit…
J’ai pas pu m’en empêcher, au moment où il m’a dit que jamais personne sera à mon niveau, qu’il veut personne d’autre… C’était carrément trop pour moi. Il a fallu que j’le prenne contre moi, que j’l’embrasse avec fougue. J’ai pas pu m’en empêcher. Il est trop irrésistible. Je l’aime tellement. Et sentir ses lèvres contre les miennes, ça me fait battre le coeur à tout rompre. Je suis aux anges et je sais plus quoi faire. Je suis tellement bien avec lui. Alors je m’arrête pas de l’embrasser. Et quand il réponds au baiser, je suis aux anges. Je le colle à moi et je l’embrasse plus franchement quand il mouve ses hanches contre les miennes. J’ai l’impression de me sentir revivre maintenant. Mon coeur bats à tout rompre et je suis un peu trop enthousiaste, mais en même temps… Pourquoi ne pas l’être ? Je suis tellement bien avec lui. Et quand il se glisse sur mes cuisses, je réponds tout de suite au baiser, j’ai les mains qui glissent le long de son dos pour se glisser sur sa taille, dans le creux de ses reins, puis elles finissent par bien prendre place sur son derrière. Je le malaxe un peu pendant qu’on s’embrasse encore et encore. Je le colle contre moi toujours plus, même si je ne crois pas que ça puisse être possible. Et ce n’est qu’une fois vraiment à bout de souffle qu’on se sépare à contre coeur. Mais je le garde dans mes bras. Maintenant qu’il est là, j’ai plus envie de le lâcher. Je veux qu’il reste là. “Moi non plus, je veux personne d’autre.” Je lui souffle, mon front contre le sien. “Ça a toujours été toi.” Je lui dis en le regardant dans les yeux. Et fiinalement, je viens attaquer sa mâchoire de mon cou. Je viens y presser des baisers, je descends dans son cou pour sucer un peu sa peau. Je veux y laisser ma marque, encore. Ouais, comme un putain d’gosse de 15 ans, mais c’est putain d’statisfaisant.© 2981 12289 0

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I'll do whatever it takes Ce baiser, il me fait tout oublier. Tout ce qui s'est passé avant. La prise de tête, la dispute et peut-être même un peu la rupture aussi. Ouais. Au moment où je sens ses lèvres contre les miennes, je me sens planer. Ce mec a toujours eu le don de me faire planer. Depuis que je le connais, c'est comme ça. Il m'a charmé dès la première rencontre, j'te jure. Et depuis, je suis complètement accro à Maxime. La rupture a été douloureuse, il n'y a pas eu un seul jour où j'ai pas pensé à lui. Il n'y a pas eu un jour où je me suis pas languis de lui. Et maintenant qu'il est là, je me sens chanceux. Et même si on s'est engueulés, je veux pas le laisser m'échapper. Le laisser était une terrible erreur, je m'en suis rendu compte immédiatement… Je crois même que je le savais même un peu avant de lui annoncer la nouvelle de mon départ en fait. J'aurais jamais dû lui parler de partir. Ou j'aurais dû aborder les choses autrement, que j'ai le temps de lui proposer de venir, qu'il ait le temps de me dire que c'est pas possible. Et j'aurais dû le choisir. Je ne peux pas revenir dans le passé pour changer les choses, mais… Je peux toujours tenter de rattraper un peu. Améliorer les choses… Tenter de pas le laisser m'échapper.

Ses mots me font revivre. Je reste collé à lui, mon front collé au sien, mes doigts agrippés à sa chemise. J'ouvre les yeux même si je le vois flou tellement il est près. C'est si bon de l'avoir si près…

« Je suis content de l'entendre, t'imagines pas à quel point… »

Ca aurait été affreux d'apprendre qu'il a quelqu'un d'autre, ou qu'il voudrait trouver quelqu'un d'autre. J'crois que j'en serais devenu fou tellement ça m'aurait fait mal. Mais là… La douleur que je ressentais jusqu'à il y a peu s'est tarit. Je me fais un plaisir de lui tendre mon cou pour lui demander encore plus d'attention tandis que je glisse déjà mes mains sous son haut pour caresser son ventre, puis son torse de plus en plus haut au fur et à mesure que le tissus remonte en même temps que mes doigts le long du buste de Maxime. J'ai tellement cru que je pourrais plus jamais le toucher que j'en profite un maximum. Je ne sais pas s'il va trouver que j'en fais trop, j'veux pas me faire jeter mais… Définitivement, je peux pas ne pas prendre le risque de tout gâcher. Parce qu'il y a cette question qui me brûle les lèvres, qui ne demande qu'à sortir de ma bouche et à être posée. J'peux pas résister.

« Maxime… » j'souffle doucement. « Tu crois que… Tu pourrais me laisser une deuxième chance..? Un jour..? »

Je suis pas sûr d'y avoir le droit de suite, peut-être que je vais devoir travailler un peu avant mais… J'aimerais savoir si c'est possible. Si un jour je pourrais avoir une chance… Ou si même je pourrais l'avoir tout de suite. J'aimerais tant qu'il me dise qu'on peut oublier, reprendre ou recommencer, mais… Clairement, c'est mieux si j'évite de m'emballer. C'est jamais la meilleure chose à faire que de s'emballer.

I'll do whatever it takesJe vous jure, je suis totalement fou. Il me rends dingue. Ses lèvres contre les miennes, c’est tout ce que j’avais besoin pour perdre le peu de self-control que j’avais pour ne plus le relâcher. J’vous jure. J’peux pas m’empêcher de lui sauter dessus, de plaquer mes lèvres contre les siennes, mes mains sur sa mâchoire. Et le pire dans tout ça, c’est que j’me suis niqué tout seul. Qu’il lui a fallu seulement quelques mots pour que je lui retombe dans les bras. Pour que j’ai envie de l’avoir contre moi, de l’embrasser, de plus le lâcher. A croire que j’suis totalement bipolaire. Ou juste con. J’sais pas trop. Et quand on s’embrasse comme ça, je m’en fiche assez, en fait. Parce que tout ce qui compte, c’est lui. Et je crois que ça sera toujours comme ça. Qu’il passe avant tout, qu’il est le premier à qui je pense. C’est l’seul qui m’pousse à penser à pas faire d’conneries en “mission” pour pas m’faire buter. C’est grave. Je suis juste trop amoureux, j’aurais pas pensé qu’un truc comme ça aurait pu m’arriver, à moi. Parce que je suis un putain d’méchant, dans le fond. Mais avec lui, j’ai l’impression que c’est pas l’cas. Du moins, que ça m’définit pas totalement. Alors j’veux le garder avec moi, parce que si j’lui montrais l’meilleur côté d’moi-même, c’est bien parce que c’est c’qu’il fait ressortir de mieux chez moi.
Et si le baiser est rompu, je reste bien proche de lui, j’ai mon front contre le sien et je le regarde avec un petit sourire sur le bout des lèvres. Il est adorable, je vous jure… C’est pas possible. Même si j’le vois hyper flou. Et j’le comprends, ce qu’il me dit. Parce que j’aurais été totalement dévasté s’il m’avait remplacé. Et j’aurais probablement tué et torturé sa conquête. Tant qu’à faire. J’aime la façon dont il s’agrippe à moi. Comme s’il voulait pas me lâcher, qu’il voulait me garder là, proche de lui. C’est… Plaisant de se sentir désiré à ce point. Et même pas désiré d’un sens sexuel - ouais, bon, probablement un peu quand même - mais dans le sens qu’il veut que je sois là. Autant que je veux qu’il soit ici avec moi. Alors je presse mes lèvres sur son cou, j’y dépose des baisers, je le mordille un peu avec les yeux clos. J’y laisse mes marques et je frissonne quand ses mains se faufilent sur mon ventre, sur mon torse, sur ma peau nue. Ce garçon me fait un effet pas possible. Aujourd’hui encore, je comprends pas comment. Et ça m’avait manqué, ses caresses. Et pas seulement parce que je suis en manque. Parce que c’est lui. Que c’est, à mon avis, la promesse qu’on peut faire quelque chose de bien tous les deux. Qu’on peut peut-être se retrouver. Quand je l’entends parler, je quitte son cou pour le regarder dans les yeux. “Ouais.” Je dis rapidement en fronçant les sourcils. Bordel, si les choses étaient bien faites, il peut avoir toutes les chances qu’il veut, j’vous jure. J’pourrais tout lui donner, à Sandro. J’pourrais m’arracher le coeur et lui donner en main propre si c’était ce qu’il désirait. Il pourrait s’passer n’importe quoi que, dans l’fond, j’reviendrais toujours en rampant. Comme un abruti fini, comme un amoureux transi qu’en a pas eu assez. Et ça devrait être inquiétant, mais même pas. “Mais j’veux plus passer au second plan.” J’comprends qu’il aime sa mère, mais on peut quand même pas la laisser choisir notre vie, faire foirer une nouvelle fois notre relation. Et quand je lui ai dit ça, je finis par lui retirer ce qui l’habillait sur le haut de son corps pour revenir à l’attaque de ses lèvres.© 2981 12289 0

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I'll do whatever it takes Je me sens juste… Super soulagé. Je veux dire… Sa réponse. J'crois que j'osais même pas m'y attendre. Et pourtant, je reçois celle que j'espérais en posant ma question. J'espérais tellement ne pas me prendre un putain de rateau. Et la réponse, elle est carrément positive. Bordel… J'suis tellement… Content. Ouais. J'pourrais même dire heureux. Je me fous à sourire comme un gros con. Un pur débile. Mais un débile heureux. C'est déjà bien, non ? J'me demande si lui aussi il est content. Je me demande c'que ça lui fait, si il se sent comme moi. Ca faisait tellement que j'm'étais pas senti aussi vivant. Quand il pose sa condition, je hoche la tête sans hésiter une seule seconde.

Et puis j'lui réponds : « Plus jamais. »

Je lève les bras pour qu'il puisse me retirer mon tee-shirt et je réponds au baiser qu'il me donne avec enthousiasme tout en lui déboutonnant sa chemise pour l'en débarrasser. Je la pose à côté de nous sur le canapé et j'appuie mes genoux sur les coussins, de chacun côté des cuisses de Maxime pour venir plaquer mon buste contre le sien. Le plaisir de sentir sa peau contre la mienne est juste… Immense. Ca fait bien longtemps que c'est pas arrivé. Trop longtemps. Puis ça fait tout aussi longtemps que j'ai senti la peau de personne contre la mienne. Du moins… De cette façon là. Clairement, Maxime me manquait beaucoup trop, ça me faisait tellement mal que j'étais pas d'humeur à chercher à combler le manque avec qui que ce soit. Puis… Maxime, c'est vraiment la seule personne que je veux. C'était la seule personne que je voulais. Je pense pas que j'aurais réussi à faire quoi que ce soit avec qui que ce soit. J'aurais même pas eu envie si l'occasion s'était présentée à moi. C'est probablement romantiquement niais et dégoulinant de bons sentiments écoeurants, mais… C'est vrai. Je ne vois que par Maxime depuis que je le connais. C'est vraiment… Choquant que je sois parti et que que je me sois pas cramponné à lui quand on y pense.

Une fois le baiser rompu, je lâche : « Je t'aime Maxmou, je te lâcherais plus… »

Maxmou… Typiquement le surnom qui le faisait râler avant. Typiquement le surnom qui me fait encore plus sourire comme un vrai teubé. J'aimais tant l'appeler comme ça, même si ça lui plaisait pas. C'est pas comme si c'était méchant. Au contraire en fait. J'trouve ça mignon, c'est carrément affectueux venant de moi. Je reviens déposer de brefs baisers sur ses lèvres. De nombreux petits baisers furtifs, avant de craquer et de me remettre à l'embrasser à pleine bouche en laissant mes mains vagabonder partout sur son torse. Sa peau est douce, chaude, toujours aussi agréable à toucher que dans mes souvenirs. Je prends bien sur moi pour pas écouter mes pulsions qui me donnent envie de lui retirer l'intégralité de ses vêtements pour pouvoir le caresser et l'embrasser de partout. Je suis sage, t'as vu ? Ca n'a quand même pas toujours été le cas, et c'est pas la chose la plus facile pour moi. Et clairement… C'est même pas sûr que ça va durer.

I'll do whatever it takesL’entendre me dire ça, ça me plaît carrément, je peux pas le nier. Faut dire que bon… Savoir qu’il va plus me faire passer après sa mère, ça me fait bien trop plaisir. Carrément plaisir, même. Je me lèche les lèvres et je caresse doucement sa mâchoire. “C’est parfait, alors.” Je lui souffle et je ne tarde pas à le dévêtir. Et je l’aide bien rapidement à me retirer mon propre haut pour qu’on se retrouve tous les deux torses nus. Et sentir son buste contre le mien, sa peau contre la mienne… C’est carrément bon. Alors je plaque mes mains dans son dos pour le garder là, pour qu’il soit collé à moi. Pour qu’il puisse pas m’échapper. C’est bien trop bon de le sentir à même la peau. Ce contact me manquait bien trop. Sandro tout entier me manquait à crever et je suis bien content qu’il soit de retour. Que je sois de retour. Je sais pas trop. En tout cas, qu’on soit tous les deux ensemble. C’est tout ce qui compte, non ? J’espère. En tout cas, c’est vraiment tout ce qui compte pour moi alors.. Quand on a rompu le baiser, j’ai mes mains glissées sur sa nuque et sur le creux de ses reins. Je le regarde et sa phrase me fait grogner, mais j’ai quand même un sourire jusque derrière les oreilles. “J’déteste ce surnom...” J’lui souffle doucement alors que je presse mes lèvres contre sa mâchoire. En réalité, je le déteste pas tant que ça, mais… Vous comprenez. J’peux décemment pas le laisser m’appeler Maxmou, quoi. Ce serait carrément pas bon pour mon peu d’réputation. Ouais, carrément pas. “Mais toi, par contre...” Je dis contre sa peau. “Toi, je t’aime tellement, c’est fou...” Je comprends pas comment ça se fait que je suis tellement amoureux de lui, tellement dingue de mon ex-petit ami.
Finalement, je sens ses mains glisser sur mon corps et ça me fait frémir pendant qu’il pose des brefs baisers sur mes lèvres. Il est carrément trop adorable ce garçon… Je sais pas comment j’ai fait pour passer tellement de temps loin de lui. Pour pas lui sauter dessus dans cette ruelle. Surtout quand il m’embrasse comme ça, à pleine bouche. Il me donne carrément chaud avec ses caresses. Je le caresse dans le dos, je le garde contre moi et je réponds au baiser avec la même ferveur, avec la même passion. Le même manque de lui. Et je le colle à moi, je viens même doucement commencer à rouler le bassin sous lui. Parce que s’il a l’air de rester bien sage… Moi, je peux pas. Je vous jure, j’en ai rien à foutre du tout bien tout honneur. “Tu me plais tellement, Sandro...” Je lui dis tout bas, mettant un peu plus de pression quand je roule le bassin contre le sien, mes mains caressant son dos un peu partout.© 2981 12289 0

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I'll do whatever it takes Je suis franchement pas surpris quand il me dit qu'il déteste mon surnom. Je m'y attendais totalement, parce que c'est ce qu'il m'a dit quasiment à chaque fois que je le lui ai sorti. Et pourtant, à ce moment là, il sourit largement. Et… Bon sang, j'adore ce sourire. Il est radieux, absolument magnifique. J'te jure. Et puis j'aime le surnom aussi, moi. J'compte pas arrêter d'appeler Maxime de cette façon… Jamais.

« Moi je l'aime… » j'lui dis doucement tout en profitant des petits baisers qu'il dépose sur ma mâchoire.

Je ferme les yeux pour encore mieux profiter, pour encore mieux savourer le fait de sentir ses lèvres se presser contre ma peau. Et j'écoute bien ce qu'il me dit. Et ça me fait un bien fou, ce qu'il me dit. J'te jure… L'entendre me dire qu'il m'aime, ça me rend bien plus heureux que quoi que ce soit au monde. Tu peux être sûr que si on m'annonçait que j'ai gagné à la loterie ça me ferait pas plus plaisir. Mon corps s'affolerait pas autant. Sérieux. Déjà, dans un premier temps j'pensais que je le reverrais plus jamais. Et puis en le revoyant… J'étais persuadé que j'étais condamné à le voir me détester. A l'entendre me faire comprendre comme il me hait de toute son âme. Du coup, je savoure encore plus la douceur de ce moment de tendresse. J'y vais tout doucement, moi. Tout doucement, presque avec précautions. Et Maxime, il y va carrément moins doucement à un moment donné… Et bordel, c'est pas moi qui vais m'en plaindre. Je crois que mon baiser un peu plus passionné l'a poussé là dedans… Et ça me va totalement. Je le sens se frotter à moi et ça me plaît. Ca me plaît totalement, j'en soupire contre sa bouche. Et quand le baiser est rompu, il me fait sourire encore une fois avec ses mots.

« Tu me plais aussi… » je lui souffle tout bas à mon tour.

Son bassin qui se presse, qui ondule contre le mien, ça me donne carrément envie de plus. De tellement plus. Ca me donne carrément envie de lui en fait. Je le regarde en me mordillant la lèvre inférieure. J'hésite.

Puis je craque : « Tu veux voir ma chambre ? »

La question paraît conne mais il va clairement comprendre où je veux en venir. Il va bien capter que ce que je veux, c'est carrément pas lui faire visiter l'appartement. Je veux l'amener dans ma chambre pour qu'on soit plus à l'aise. Pour qu'on profite de mon lit. Et surtout, qu'on se fasse pas surprendre par une arrivée soudaine de ma mère si elle se décide à rentrer d'ici peu. Bref. J'attends une réponse avec impatience et j'espère vraiment qu'elle va être positive. En attendant, je reste bien collé à lui, je me frotte un peu à lui aussi. Je me gêne plus vraiment… J'crois pas que j'ai encore à me gêner… J'ai plus envie de me gêner. Vraiment. Tout c'que je veux, c'est lui.

I'll do whatever it takesJ’ai un sourire carrément immense sur les lèvres quand il me donne ce surnom qui m’a tant fait râlé parce que.. Ouais, c’est tellement banal. Tellement comme avant. “Ouais, ça m’étonne pas.” Je lui dis en roulant des yeux, mais pas d’un mauvais air. D’un air gentiment désespéré. Je dois bien avouer que le surnom me dérange pas tant que ça, en réalité, mais… Je vais tout de même pas lui dire ça maintenant, hein… Il serait carrément trop fier. Alors j’dis rien, je me contente d’embrasser sa peau, de la sucer doucement, de la mordiller. Je peux pas m’en empêcher. Maintenant que ça s’est assez arrangé entre nous, j’ai carrément envie d’être avec lui, de le sentir collé à moi et je peux pas m’empêcher de faire tout ce que je peux pour le garder là. Et on s’embrasse finalement avec fougue, avec une passion qui nous est bien connue. Parce qu’on a jamais vraiment été innocents tous les deux. Alors ça m’étonne pas vraiment qu’on finisse comme ça. Que je finisse par faire onduler mon bassin en dessous du sien et je viens doucement tirer sur sa lèvre inférieure avec mes dents quand je le sens soupirer contre mes lèvres. Je sens qu’il va pas me falloir bien longtemps avant qu’il ne me rende totalement fou, Sandro. Et je souris quand je l’entends me parler, qu’il me dit que je lui plais aussi. “Encore heureux…” Je lui dis avec un soupire amusé.
Et quand il me parle, qu’il me demande si je veux voir sa chambre, je comprends tout de suite où il veut en venir. Je me lèche la lèvre inférieure avant de hocher doucement la tête quand il parle. “Comment je pourrais refuser ça ?” Je lui demande en caressant doucement ses hanches, en le collant bien contre moi. Mes mains glissent le long de son dos alors que je le regarde dans les yeux. “J’ai vraiment envie que tu me montres ta chambre.” Je lui dis alors que je viens presser mon bassin un peu plus contre lui, lui faisant sentir que je commence à réellement être émoustillé par la situation. Alors je finis par me lever quand il se retire de sur mes cuisses et je le suis jusqu'à sa chambre. Et je perds pas de temps à regarder la chambre ou quoi que ce soit, je m’en fiche un peu. Je vais directement sur le lit et j’attends qu’il reprenne place sur moi. Je suis totalement affamé, je crève d’envie de sentir ses mains contre ma peau. D’aller plus loin, du moins, aussi loin qu’il voudra aller. Sandro, c’est tellement l’homme de mes rêves, j’vous jure. J’comprends toujours pas comment j’ai fait pour l’avoir une fois. Et maintenant, une deuxième fois quand on y pense. C’est parfait. Il est parfait. J’suis raide dingue de lui. Je comprends pas comment c’est possible, mais c’est pas si dérangeant pour le moment. Bien moins que lorsqu’on s’est retrouvés en tout cas.© 2981 12289 0

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I'll do whatever it takes Je suis clairement satisfait par la réponse que me donne Maxime. Il veut bien me suivre dans ma chambre, et au vu de sa réaction, de l'expression de son visage et de sa façon de me toucher, il a parfaitement compris où je veux en venir. Je me lève, me décollant de lui à contrecoeur et je l'attrape par le poignet pour l'entraîner rapidement dans ma chambre. La pièce est plutôt petite, y'a pas grand chose dedans. Un lit double, une commode, trois machins de déco que ma mère a foutu là et… Voilà. Et franchement, j'pense que le manque de customisation de ma chambre est le cadet des soucis de Maxime à ce moment là. Je vois ce dernier se poser sur mon. Il m'attend, j'le vois, mais avant de revenir contre lui, j'ai vite fait de lui virer son pantalon que j'envoie valdinguer juste avant le mien. Je me dépêche ensuite de venir me remettre sur le bassin de Max. Je passe mes bras autour de son cou et je plaque de nouveau mon corps contre le sien. Et je me mets à dévorer ses lèvres avec passion. Avec une envie non dissimulée. Mes hanches ondulent lentement au-dessus des siennes. Mon corps recherche lui-même la chaleur provoquée par la douce friction qui excite mes sens. Et je cherche à provoquer le désir de Maxime. Du moins… A l'éveiller encore plus qu'il l'est déjà. Je chope sa lèvre inférieure entre mes dents pour la mordiller, pour tirer doucement dessus avant de la relâcher. Quand je quitte sa bouche, c'est pour parcourir sa mâchoire, puis son cou avec mes lèvres, je mordille même un peu sa peau, avant de la suçoter et de me remettre à y apposer de nombreux baiser mouillés. Je longe l'une de ses clavicules, je fais glisser ma langue sur sa peau. Son goût, son odeur, tout m'a terriblement manqué chez lui. Je pose mes mains sur ses épaules pour le repousser et qu'il se retrouve allongé, le dos plaqué sur le matelas. Mon pelvis n'a de cesse de bouger pour nous procurer cette délicieuse sensation. Désir, plaisir, torture… J'ai envie de plus, de tellement plus. Ca fait si longtemps, et pourtant je continue d'attendre. Je dois être complètement fou. Ou… C'est aussi que… Ca n'a même pas commencé que j'ai déjà pas envie que ça termine. Je veux que ce moment dure. Encore et encore. Une éternité, même. J'ai pas envie d'arriver à ce moment où on va devoir se désolidariser. Se décoller, puis sur séparer. J'ai pas envie. Je veux l'avoir avec moi tout le temps. Mais… En même temps, j'ai cette envie quasi ardente de passer à l'étape supérieure. J'en soupire tandis que mes mains glisse lentement vers son torse et caressent sa peau. J'observe son corps qui n'a pas changé d'un poil. Il est si beau, vraiment désirable. Je me penche vers lui et je recommence à embrasser sa peau en espérant la sentir frissonner. Mes lèvres suivent l'une des courbes sombres dessinées sur sa peau. Je rouvre mes yeux que j'avais clos pour les lever vers le visage de l'homme que j'aime.

« J'aime toujours autant tes tatouages… » je lui souffle doucement. « Tu en as de nouveaux ? »

C'est ce que je crois. Il me semble voir au moins un petit nouveau parmi l'un de ces motifs qui me semblent totalement abstraits et que je n'ai jamais compris. J'avoue, je ne lui ai jamais demandé d'explication. Ces tatouages, il les avait avant, et je me suis dit que c'était certainement juste esthétique. Parce que c'est beau. Ca lui va bien. Et finalement, je crois bien que c'est à la mode. Parce que depuis que je suis arrivé à New York, j'ai vu le même type de dessins dépasser de cols ou de manches.

I'll do whatever it takesJe fais pas attention à ce qu’il y a autour et j’attends Sandro sur son lit. Je le regarde et je me lèche les lèvres. Sandro est tellement beau, je vous jure… Il me plaît tellement. Je sais pas comment ça se fait qu’il n’y ait que moi qui souhaite être son petit ami, être proche de lui. Mais ça me va carrément, vous n’imaginez même pas. Je le laisse me retirer mon pantalon pour me retrouver rien qu’en boxer devant lui et je le regarde en me léchant les lèvres quand il retire le sien. Je vous jure, Sandro me vends du rêve, je comprends pas comment quelqu’un d’aussi canon peut exister. Il doit y avoir une couille à quelque part, je sais pas. Il est tellement parfait, je comprends pas. J’ai juste envie de l’approcher de moi, de l’embrasser partout, de le lécher. De lui faire des tas de choses, de l’avoir contre moi encore et encore. Il revient sur mon bassin et mes mains viennent directement se glisser sur ses hanches tandis que je le colle contre moi, mes mains glisser sur le creux de ses reins, glissant sur tout le long de son dos, sur son derrière. Je le garde contre moi, je suis insatiable, un affamé pour son toucher, pour le fait de sentir sa peau sous mes doigts et je réponds au baiser avec passion, avec toute la fougue possible, mes hanches ondulant contre celles de Sandro, mon excitation, mon désir se faisant de plus en plus présent, grandissant au fur et à mesure que l’on se touche, que l’on s’embrasse. Je soupire d’aise quand je le sens me tirer la lèvre inférieure, il est carrément hot, Sandro. Puis quand je le sens quitter mes lèvres pour parcourir lentement ma peau, la parsemer de baiser, je ferme les yeux, je soupire d’aise. C’est carrément bon. Pourtant, c’est juste des baisers. Et j’adore le sentir sucer ma peau comme il le fait. Tout ça m’avait vraiment manqué. J’ai les yeux clos et ma respiration se fait un peu plus rapide, un peu plus lourde quand je le sens venir sucer ma clavicule, qu’il me lèche la peau. Ma main se glisse doucement dans ses bouclettes alors que je le caresse gentiment, je l’incite à continuer ses actions. Entre ça et ses frottements contre mon bassin, c’est vraiment génial, je suis au comble du bonheur, là et je suis aussi au comble de l’excitation, mon membre dur dans mon boxer. Je meurs d’envie de passer à la suite, je meurs d’envie qu’on soit liés de la façon la plus exquise que je connaisse. Je suis totalement focus sur ce que fait le Terrestre que j’aime tant quand sa phrase me perturbe, qu’elle me fait tilter et je fronce les sourcils. “Mes tatouages ?” Je demande en glissant toujours ma main dans ses cheveux. Il parle de mes runes. Je comprends pas. Depuis quand il les voit ? Mais je me décide quand même à lui répondre. “Ouais.” Je dis d’un air confus. Je savais pas qu’il avait la seconde vue. Je suis perturbé. Je comprends pas. Pourquoi je l’ai jamais remarqué ? J’ai peut-être juste pas fait attention… Je suis carrément embêté. J’aimais l’idée qu’il n’y connaisse rien, qu’il soit totalement innocent. Je glisse doucement ma main pour le tirer vers moi afin de pouvoir l’embrasser à nouveau alors que d’une main, je commence lentement à lui baisser son boxer. J’ai tellement envie de lui. Malgré le fait que mon cerveau soit en un énorme beug à cause de sa révélation sur mes tatouages et sa seconde vue. Je pourrais toujours le questionner plus tard, non ?© 2981 12289 0

611 MOTS

En moins de 24h

I'll do whatever it takes J'ai l'impression que mon coeur va exploser. Je pense bien qu'il avait jamais connu un bonheur aussi intense auparavant. J'te jure. Retrouver l'être aimé, c'est une sensation tellement unique. Inimitable. Je suis heureux comme pas permis, et ça me fait un bien fou. Je m'enivre de la sensation de son corps contre le mien. Tout mon être le réclame. Lui. Juste lui. Et ça a toujours été le cas. Je suis intimement persuadé que même si Maxime se trouve mauvais et qu'il a sous-entendu que je devrais pas l'aimer… On est faits l'un pour l'autre. J'en suis sûr et certain. J'ai toujours senti qu'il était fait pour moi, Maxime. Même s'il est un mec et que moi aussi. Même s'il y a des tas de choses de lui que je ne sais pas. Même si je lui ai jamais présenté ma mère. Je le sens au plus profond de moi. Je l'aime comme un dingue. Et je le désire. Et je ne m'en cache pas un instant, comme lui ne cache pas non plus son envie de moi. Et j'embrasse son corps attentivement, sur chaque petit centimètre carré qui passe sous mes lèvres. Et je suis le contour de l'un de ses tatouages que je complimente. Et… J'ai l'impression que ça le rend un peu bizarre. « Mes tatouages ? » qu'il demande.

Je fronce les sourcils : « Ben… Ouais ? »

Peut-être qu'il a pas trop compris ce que j'ai dit sur l'instant. Ou peut-être qu'il est surpris parce que j'ai jamais fait mention d'eux auparavant. Va savoir. En tout cas, je suis plutôt fier quand Maxime m'annonce qu'il en a bel et bien au moins un nouveau. Je suis fier de connaître à ce point son corps que j'ai parcouru des dizaines et des dizaines de fois. Je presse encore quelques baisers sur sa peau avant qu'il ne me pousse à remonter. Je suis le mouvement induit par sa main et je viens presser mes lèvres contre les siennes pour l'embrasser avec passion. Je frémis totalement quand je sens sa main qui me libère de la pression de mon boxer. C'est encore mieux. Je me bouge pour me débarrasser totalement du sous-vêtements, et j'en profite pour lui retirer le sien sans - bien sûr - rater l'occasion de me rincer l'oeil au passage, me léchant même les lèvres sans la moindre petite notion de subtilité. Eh. On va pas m'en vouloir d'aimer chacune des parties de son corps, hein ? Je reviens rapidement sur lui, et alors que je m'apprête à l'embrasser de nouveau, je vois qu'il a quand même l'air perturbé. Je me stoppe alors que je suis penché sur lui, mes lèvres à quelques centimètres des siennes. Je peux sentir son souffle devenu plus lourd qu'avant s'écraser contre le bas de mon visage comme le mien doit en faire de même contre ses lèvres.

« Qu'est-ce qui se passe ? » je lui demande doucement. « T'as l'air perturbé comme si tu venais de découvrir l'existence de tes tatouages. »

Je lâche un petit rire. Je vais pas dramatiser. J'imagine qu'il y a rien de si grave, hein ? J'espère… Puis je suis pas sûr que ça soit le moment de parler de ça finalement. Je me mordille la lèvre inférieure.

Je lui souffle : « Oublie, on en parlera après… »

L'une de mes mains glisse le long de son corps pour se saisir de l'objet de mes désirs. Je l'attrape à pleine main pour faire des mouvements bien francs dessus. Je me dis que quelques caresses suffiront probablement à lui faire oublier pour un moment ce qui le gêne - si tant est que quelque chose le gêne. Ma main libre vient s'accrocher gentiment à ses cheveux tandis que je l'embrasse avec toute l'indécence dont je suis capable de faire preuve.

I'll do whatever it takesIl me plaît tellement, Sandro. Vous imaginez pas à quel point. Il est parfait, Sandro. A mes yeux, même si on a des bas par moment, je l’aime tellement, totalement. Je lui suis plus dévoué qu’à qui que ce soit et pour lui, je ferais tout et n’importe quoi. Pour lui, je pourrais crever encore et encore. Je pourrais me faire torturer si c’était pour son bien, et si c’était lui qui me le faisait, j’en redemanderais encore et encore. Des tonnes et des tonnes de fois. En même temps, si c’était le prix à payer pour l’avoir à mes côtés, je le paierais maintes et maintes fois pour pouvoir l’aimer le plus longtemps possible et lui donner le plus d’amour, tout mon coeur jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de moi. Alors je l’embrasse, je me presse contre son corps, je lui montre que je le désire carrément, plus que tout au monde. Mais quand il parle de mes runes, il me laisse perplexe, je pensais qu’il ne voyait que le Serpent sur mon cou, mais apparemment, il voit tout le reste aussi et c’est tout de même carrément stressant. Mais j’essaie de faire comme si de rien n’était.
Je fais comme si de rien n’était et je viens gentiment caresser ses cheveux, je viens lui retirer son boxer et je l’observe attentivement. Il est carrément canon comme ça, nu comme un ver. Il me donne des tas d’envies pas vraiment catholiques. Je l’aide à retirer mon boxer en haussant doucement les hanches pour que ça passe bien. Et j’aime la façon dont il me regarde parce que je le regarde de la même manière. Comment je pourrais ne pas le regarder comme ça en même temps ? Il est tellement parfait. Tout son corps l’est et j’aime l’idée qu’il puisse penser la même chose de moi. Finalement, il se retrouve sur moi et je me lèche doucement les lèvres quand il revient sur moi. Je viens glisser mes mains sur ses hanches et je le regarde attentivement quand il se stoppe et ça ne me plais pas vraiment. Je voudrais carrément qu’il continue, qu’il m’embrasse enfin. Mais je l’écoute parler, je le regarde, mon regard posé contre le sien. “Euh…” Je dis avec un petit rire avant de hocher doucement la tête quand je l’entends parler, qu’il me dit qu’on en parlera après. “Okay, parfait.” Je lui dis, je lui souffle alors que je frémis sous sa caresse, quand il vient descendre sa main jusqu’à mon sexe. Et quand il commence enfin à y faire de petits mouvements, je ne peux pas m’empêcher de pousser un grognement, mes mains s’agrippant à ses omoplates, le collant contre moi alors que je réponds au baiser de la même manière, avec une indécence totale. Ma langue vient jouer avec la sienne alors que sa main me donne bien plus de plaisir que je ne l’avais imaginé. Il n’y a pas de doutes… Même une branlette avec Sandro est bien mieux que de ne faire que me toucher dans l’obscurité de ma chambre. Alors je glisse moi-même, assez lentement, une de mes mains vers le sexe du garçon pour le prendre en main, y faisant d’assez lents vas-et-viens, ma respiration lourde contre les lèvres du garçon quand on arrête de s’embrasser.© 2981 12289 0

553 MOTS

En moins de 24h

I'll do whatever it takes Quand il est nu, totalement offert sous mon corps, j'ai envie de lui faire tant et tant de choses. Carrément plus qu'une simple branlette dans le lit. Ouais. Largement plus que ça. Okay, c'est plaisant de se toucher, mais je suis tellement en manque que c'est carrément pas ça qui va me contenter. Je soupire contre sa bouche, sa main me faisant déjà un bien fou malgré la lenteur de ses gestes… Quand nos lèvres se lâchent, je mordille un peu la mâchoire de Maxime, puis son cou. Et, lentement, je recommence ma descente le long de son corps. Je dépose de multiples baisers sur son torse que j'ai tant aimé caresser, lécher, mordre. Mes lèvres viennent se presser de plus en plus bas sur son buste, couvrant son corps de baisers tantôt semblables à des effleurements, tantôt appuyés et humides. Finalement, son bras devient trop court pour qu'il puisse encore me caresser et c'est frustrant… Mais voilà. J'aime Maxime et je fais passer son plaisir avant le mien, ça me semble tout naturel. Je me retrouve finalement à lui écarter les jambes pour m'installer entre elles tandis que le lèche son bas-ventre d'une façon que je viens sensuelle. Son entrejambe est juste là, à portée, mais même si l'envie de le faire est présente, je ne me jète pas immédiatement dessus, je me contente de resserrer mes doigts dessus et de prolonger la caresse chaleureuse que je lui procure depuis avant. Je mordille sa peau tout en bas du ventre, je la suce suffisamment fort pour la marquer avant de nicher mon nez au creux de son aine où je continue d'embrasser, encore et encore. J'avoue que l'idée de le narguer encore un peu me plaît. Comme s'il était pas déjà assez excité comme ça. Je lève les yeux en direction de son visage que je regarde en me léchant les lèvres.

« J'ai tellement envie de toi… »

Ma main se fige au niveau de la base de son sexe, c'est ma langue qui prend le relai au niveau des caresses. Je le lèche sans pudeur, sans cacher le plaisir que ça me procure que de pouvoir de nouveau pouvoir lui faire ce genre de chose. Je pose ma main libre sur son bas ventre et je la fais lentement serpenter jusqu'à présenter mes doigts près de son visage. Je caresse doucement sa lèvre inférieure du bout de l'index.

« J'ai pas de lubrifiant, bébé… » je lui souffle pour bien lui faire comprendre ce que je veux qu'il fasse.

J'avais pas vraiment prévu ce qui allait se passer aujourd'hui, et vu que j'ai eu personne depuis lui et que ça m'intéressait même pas, j'ai pas trop vu l'utilité de m'en procurer. Je regrette un peu ce soir, mais… Il survivra. On n'a déjà fait comme ça, à l'ancienne. En attendant qu'il mouille bien mes doigts, je me prive pas de continuer ce que j'étais en train de faire à l'instant. J'attends plus vraiment avant de prendre l'extrémité de son érection dans ma bouche. Je la cajole de la langue, la suçote, je joue un peu avec cette partie si sensible de son anatomie, puis finalement, ma bouche descend, de plus en plus. Je le suce plus franchement et quasiment comme si ma vie en dépendait. Les yeux fermés pour mieux m'appliquer sur lui, je me fie carrément à mon ouïe pour agir en fonction de ses réactions.

I'll do whatever it takesJe me lèche les lèvres, je me mordille la lèvres inférieure quand il mords ma mâchoire en me caressant le sexe. Et je fais de même, je me prive carrement pas pour le toucher parce que je veux lui faire ressentir le plus de plaisir possible. Je veux vraiment qu’il perde pied sous mes actions. Je soupire d’aise en sentant ses morsures sur ma mâchoires, sur mon cou. Il est carrément plaisant dans ses actions et quand il descends le long de mon corps, mes soupirs se font de plus en plus présents et un peu plus fort. Et malheureusement, mon bras finit par ne plus être assez long pour que je puisse le masturber pendant qu’il descends sur mon torse, alors ma main finit par se glisser dans sa chevelure que je viens gentiment caresser. Je glisse mes mains entre ses jolies bouclettes et je le quitte pas du regard. Le voir descendre le long de mon corps… C’est bien trop parfait pour ça. Je veux pas en perdre une seule miette. Et quand ses lèvres sont sur mon bas ventre, qu’il me marque, je gémis doucement. Ca plus ses mouvements sur mon sexe, ça ne peut pas me faire rester silencieux. En même temps, j’ai jamais vraiment été du genre silencieux. Et ses baisers autour de mon sexe, mais sans jamais y toucher… Ca m’excite de plus en plus. Vraiment, je me sens tellement dur que rien que ses caresses commencent à me frustrer. Alors quand il finit par remplacer sa main par sa langue, je pousse un long râle quand il vient me lécher sans pudeur. Et il est adorable comme ça, sa langue sur ma queue. J’ai hâte de le voir avoir les lèvres étirées autour de ma queue.
Je vois finalement ses doigts près de mes lèvres et quand il vient passer ses doigts sur ma lèvre inférieure, je me lèche les lèvres en les regardant. “Je m’en fiche.” Je dis juste avant de gémir quand il se mets à me sucer comme ça, de cette manière… C’est indécent et ça me donne tellement de plaisir. J’ai carrément envie qu’on en fasse plus, qu’il finisse par se lier à moi d’une façon si délicieuse. Alors je perds pas une seconde avant de me mettre à bien sucer ses doigts entre mes lèvres. Je fais un peu comme lui autour de ma queue, à me sucer, à me lécher. J’ai toujours aimé le sentir faire, me lécher comme ça alors je gémis autour de ses doigts. Mais je m’arrête carrément pas de saliver sur ses doigts. J’ai fini par fermer les yeux sous ses actions alors que mon rythme cardiaque s’emballe lentement, que mon souffle est aussi rapide que le rythme de mon coeur. Et mes sons se font lentement plus forts - juste un peu - au fur et à mesure que le temps passe, que ses actions se font plus franches et j’écarte les cuisses. Je suis carrément excité. “Sandro…” Je souffle, assez bas, la voix cassée pendant que je sors ses doigts de mes lèvres quand je pense les avoir assez humidifiés.© 2981 12289 0

521 MOTS

En moins de 24h

I'll do whatever it takes Je suis bien content que la nouvelle que je lui ai annoncé ne le fasse pas reculer. Évidemment, s'il avait voulu qu'on ne fasse rien de plus à cause de ça, on aurait rien fait mais… Ca aurait été tellement frustrant. J'suis satisfait que Maxime veuille qu'on continue. Alors je lui confie la tâche de mouiller mes doigts pour les lubrifier pendant que moi je m'occupe de simplement lui donner du plaisir grâce à ma bouche qui travaille bien sur son sexe. Les gémissements qui parviennent jusqu'à mes oreilles sont juste… Délicieux. Ce son m'a terriblement manqué, c'est une chose sûre et certaine. Il est tellement sexy… C'est si bon de l'entendre, de le sentir, de le toucher… En plus, il a cette façon parfaitement attirante et excitante d'écarter encore plus les jambes pour s'offrir d'autant plus juste avant de délaisser mes doigts. Sa façon de souffler mon prénom me fait comme un coup d'électricité dans le corps. Ma main redescends alors lentement sur son buste, mes doigts laissant derrière eux un sillon humide sur sa peau. Et finalement, c'est entre ses fesses que mes doigts se faufilent. Je le titille doucement, uniquement en surface. La délicatesse du geste contraste bien avec ma façon de sucer son sexe comme un sale affamé. Je gémis contre son érection, je suis tellement excité… Et comme je le sens bien réceptif, j'insère lentement un doigt en lui et je le bouge lentement pour commencer la préparation. Puis progressivement, en prenant bien soin de laisser le temps à Maxime de s'habituer à chaque fois, j'ajoute un deuxième doigt, puis un troisième. Je m'applique à bouger mes doigts, les faire aller et venir, les écarter. Je me joue de la sensibilité de sa prostate. Bien que ça fasse des mois qu'on ait rien fait, mes doigts n'ont pas oublié comment prendre soin de lui. Comment lui faire du bien et l'exciter encore plus pour le faire se languir de ma queue. Je veux que l'envie de passer à la suite, de me sentir moi entre ses reins devienne insoutenable. Qu'il n'en puisse plus d'attendre et qu'il me réclame. Mes doigts massent bien la zone si sensible qui se situe en lui pendant que je l'enfonce bien profondément entre mes lèvres. Je le prends entièrement et je l'aspire fort pour lui donner un maximum de sensations. Ma langue ondule contre sa peau, se presse contre lui. Je me souviens parfaitement de ce qu'il aime, et je m'applique à lui offrir exactement ce qui l'a toujours fait kiffer. Ma main libre caresse l'intérieur de sa cuisse, avant de venir glisser sous ses bourses que je sous-pèse, que je caresse, que je malaxe avec délicatesse. Je fais bien gaffe à ne pas lui faire mal. Après tout mon but est de lui faire du bien, pas de le faire se retrouver en PLS sur le lit à cause de gestes trop brusques ou malvenus. J'ouvre finalement les yeux, gémissant une fois de plus malgré ma bouche pleine. Je suis si excité que j'en ai presque mal. Et pourtant je continue de bien m'appliquer. Et pourtant, je me mets juste à le mater pendant que je lui fais du bien et que je le fais passer en premier.

I'll do whatever it takesLe sentir faire, quand il vient me sucer de la sorte, c’est juste trop bon. Alors j’ai envie de plus, alors je suce bien ses doigts pour pouvoir avoir plus. Et je peux pas m’empêcher de gémir son prénom, les yeux clos une fois que j’ai arrêté de sucer ses doigts. J’écarte bien les cuisses, j’ouvre les paupières pour le regarder finalement. Il est tellement sexy comme ça, puis il gémit lui-même autour de ma queue alors que… Je lui fais même rien, c’est juste trop sexy. Ses doigts descendent le long de mon corps comme ça, laissant un tracé mouillé me font frémir et je pousse un long soupir d’aise. Il a le don de m’exciter jusqu’au point de non retour en quelques secondes, je vous jure… Je sais pas comment il fait. Il doit avoir un don ou quelque chose comme ça, je sais pas trop, mais ça me plaît en tout cas. Et pas qu’un peu. Et quand je sens ses doigts de plus en plus bas, je me mordille la lèvre inférieure. C’est vraiment tout ce que j’attendais. Et sa douceur me ferait presque perdre les pédales quand je sens comme il me suce comme un affamé. Le contraste me rends fou.
Je suis totalement réceptif à tout ce qu’il pourrait bien me faire, alors quand je sens son doigt me pénétrer lentement, entamer la préparation, je dois me battre pour ne pas rouler des hanches parce que.. J’en veux plus. Un doigt, c’est carrément pas assez. Et quand il rajoute des doigts jusqu’à arriver à trois… C’est tellement bon. Et quand il vient buter ma prostate, la titiller gentiment… Je gémis assez fort, j’ai les yeux fermés et ma respiration est saccadée. Il m’en faut pas beaucoup pour être entrain de lentement bouger en gémissant son prénom assez fort. J’ai vraiment besoin de plus. Il me fait tellement languir, l’envie de le sentir s’enfoncer en moi est de plus en plus présente. J’en crève d’envie. Et au fur et à mesure qu’il me masse la prostate, qu’il me caresse la cuisse et finit par aller malaxer mes bourses en me touchant, j’ai l’impression que je vais pas tarder à passer le point de non retour. Je viens finalement tirer sur la chevelure de Sandro pour qu’il arrête de sucer ma queue. “Putain, Sandro, baise-moi maintenant.” Je réclame et quand il a retiré ses lèvres de ma queue, je viens doucement bouger mon bassin contre sa main pour me baiser contre ses doigts. “S’il te plaît, j’veux ta queue maintenant.” Ouais, je suis poli et en même temps, j’parle pas très bien, mais ouais c’est carrément pas une chose à laquelle je pense tout de suite. J’ai pas envie de bien parler ou quoi que ce soit, je veux seulement sa queue. En même temps, quand il me mets dans cet état, est-ce que je pourrais vraiment vouloir quelque chose d’autre ? Ses doigts me titillent si bien, mais je sens tout de même que ce n’est pas assez. Qu’il me faut plus.© 2981 12289 0

510 MOTS

En moins de 24h

I'll do whatever it takes Les réactions de son corps et les petits bruits qui s'échappent de sa bouche me font un effet de dingue. Ca me fait plaisir de lui faire tant d'effet, de le faire réagir comme ça. J'en suis fier et heureux. Et je continue de bien m'appliquer à lui donner un maximum de plaisir. Je le suce, le caresse, le doigte avec beaucoup d'attention. Lui faire ce genre de chose m'a terriblement manqué. C'est avec lui que j'ai commencé et j'suis bien content de le retrouver. Son corps me rend véritablement du rêve. Je le trouve absolument parfait dans chacun de ses détails. Je l'adore totalement et je pourrais l'admirer à longueur de temps. Tout le temps le toucher, tout le temps l'embrasser et le lécher tout partout aussi. Bon sang. J'aimerais tellement pouvoir le garder dans ce lit pour toujours…

Je sens finalement les doigts de Maxime tirer sur mes cheveux, et j'me retrouve à devoir relever la tête et le retirer d'entre mes lèvres. Sur le coup j'me demande un peu c'qu'il a mais… J'suis plus que satisfait quand j'entends c'qu'il me dit. Bon sang… Pile ce dont j'rêvais. Je mordille ma lèvre inférieure et un sourire vient soulever le coin de mes lèvres quand il insiste. Quand il réclame encore plus à ce qu'on passe à l'étape supérieure tout en se tordant sur mes doigts comme s'il en voulait toujours plus. Et… Il en veut toujours plus, ouais. Et vu comme il parle, ça presse carrément.

« Avec plaisir. » j'lui réponds alors que je pense : « dans tous les sens du terme. »

Je retire mes doigts de son intimité et crache un peu de salive dans ma main pour l'étaler sur mon érection avec quelques caresses qui me font déjà frémir. N'avoir pas eu la moindre attention durant de longues minutes salement excitantes, ça me rend plus que sensible. Alors même si j'm'applique à bien humidifier mon sexe, j'me dépêche quand même pas mal. Et j'tarde pas à plier et relever les jambes de Maxime pour me donner un meilleur accès. Je saisis mon membre d'une main pour le guider et j'en presse le bout entre ses fesses pour commencer à doucement nous lier l'un à l'autre d'une des meilleures façon que je connaisse - l'autre étant lorsque c'est lui qui me prend. Rapidement, je sens sa chaleur et son étroitesse autour de moi. Je ferme les yeux et je gémis doucement. C'est tellement bon… C'est dur de lutter contre l'envie d'y aller directement et largement moins délicatement. Pourtant, je reste doux et délicat. J'y vais lentement parce que j'vais pas lui faire mal. Je l'aime bien trop pour m'en foutre qu'il souffre. Et en plus, sans lubrifiant, c'est tout de même moins facile…

« Ca va ? » je lui demande, la respiration profonde.

Pour l'aider à rester bien détendu pendant que je me fais doucement ma place en lui et le temps qu'il s'habitue, je reprends son sexe en main pour le masturber en même temps. J'me dis que ça ne peut clairement pas lui faire du mal de recevoir quelques caresses.

I'll do whatever it takesIl me rends totalement fou rien qu’avec ses doigts, qu’avec ses lèvres autour de mon sexe et je crève d’envie de le sentir me donner plus. Je me lèche doucement les lèvres en le poussant à arrêter de m’harceler comme ça avec ses jolies lèvres. Et je ne tarde pas à réclamer plus et je me doute bien qu’il était totalement d’accord pour me donner ce que je voulais. Alors ça me plaît vraiment de plus en plus, clairement. “Enfin.” Je râle un peu, mais vu mon ton et ma voix rauque, il va probablement se douter d’à quel point je suis totalement désespéré. Il doit entendre comme j’attends ça avec impatience, que tout ce que je veux, c’est qu’il me prenne et me fasse l’amour comme jamais.
Mais le pire dans tout ça, c’est que lorsque je sens ses doigts se retirer, quitter mon corps, je me plains un peu. Parce que j’ai l’impression d’être totalement vite, là comme ça. Mais je le regarde attentivement cracher sur ses doigts et se caresser un peu pour étaler la salive. Il est vraiment trop sexy quand il fait ça, c’est fou. Il me ferait presque saliver. Et je me laisse totalement manoeuvrer quand il me plie les jambes afin d’avoir un meilleur accès et ces dernières finissent sur ses épaules alors que je suis presque moi-même plié en deux quand il commence à lentement me pénétrer et ça brûle, il est tout de même plus imposant que ses doigts mais la brûlure est tout bonnement délicieuse. Je pourrais la sentir encore et encore si c’était pour ça. Parce que quand on est liés l’un à l’autre de cette façon, c’est parfait. Comme quand c’est l’inverse, que c’est lui que je prends. Et il est si doux avec moi, il y va gentiment et j’apprécie. Même si dans le fond, ça ne m’aurait pas vraiment déplu de le sentir directement commencer à me malmener. Ce n’est pas comme si j’étais fait de sucre. Mais le pire dans tout ça, c’est que sa façon d’être doux avec moi, je l’aime tant. Elle me plaît et me plaira toujours autant. “Ouais, c’est parfait. Continue, Sandro.” Je lui souffle doucement, les yeux ouverts. Et la douleur que je ressens au creux de mes reins s’estompe petit à petit pour laisser place au plaisir quand il commence à me masturber en même temps. Il va vraiment finir par me rendre fou avec tout ça. Alors je ne tarde pas à me mettre à moi-même bouger le bassin contre le sien, à la recherche de plus de friction, à la conquête du plaisir. Je recherche tout simplement… Plus. “Bouge, s’il te plaît…” Je le supplie presque - ce qui doit carrément faire pitié -, mais je suis totalement désespéré. J’ai envie qu’il bouge encore et encore ses hanches. J’en crève d’envie. Puis je suis pas la personne la plus… Patiente. Je pense même que je le serais jamais. Alors je le tire pour qu’il vienne m’embrasser parce que ça aussi j’en crève d’envie. J’ai besoin de tout ce qu’il pourrait me donner.© 2981 12289 0

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En moins de 24h

I'll do whatever it takes Le retrouver, c'est sûrement la meilleure chose qu'il aurait pu m'arrive. Ca me rend vraiment heureux. De le revoir, d'avoir pu le convaincre de venir avec moi, qu'on se soit réconciliés sans se faire plus de mal que ça. Ca me fait un bien fou d'être avec lui. C'est un peu comme si ces derniers mois n'étaient en quelque sorte qu'un vilain cauchemar duquel je suis lentement en train de me réveiller. C'est bon. C'est tellement bon de goûter à cette réalité. De baisser les yeux et de voir l'homme que j'ai jamais cessé d'aimer juste en dessous de mon corps. De baisser la tête et de pouvoir l'embrasser. Avoir la chance de pouvoir de nouveau sentir le goût de ses lèvres et leur douceur qui me semble comparable à rien d'autre qui existe dans le monde. J'ai l'impression que le moment est parfait, juste absolument parfait. Sauf que bien vite, je me rends compte que c'est rien du tout. Quand nos corps ne font désormais plus qu'un, je me rends compte que ça pouvait être encore mieux. Et là. Là, c'est parfait. Et mon corps ne demande qu'à chercher son plaisir, bouge au contact du sien, dans l'étroitesse de son être qui m'enserre fermement. C'est carrément délicieux, bordel. Salement bon. Je dois lutter contre mes instincts pour rester tranquille et ne pas me mettre à le malmener malgré tout. Son bien-être avant le mien. J'suis amoureux, merde, donc c'est foutrement logique. Je suis sage. Alors je préfère lui changer les idées avec quelques caresses qui l'aideront à se détendre et qui lui feront du bien. Et mine de rien, j'sens bien que ça fonctionne. Il a l'air vite à l'aise. Rapidement il bouge, il me tente, il est trop sexy… Et quand j'entends son ton presque suppliant, je craque totalement.

« A tes ordres, bébé… »

J'suis le mouvement qu'il m'impose et j'le plie carrément en deux pour venir presser mes lèvres contre les siennes. Et alors que je l'embrasse passionnément, j'ancre bien mes genoux dans le matelas pour commencer à lui donner des coups de reins bien lents, bien profonds. Je grogne contre sa bouche. Ca me soulage grave, de pouvoir céder un peu à mes pulsions. Ca me fait un bien fou bien malgré la lenteur des mes gestes. Et puis… Je ne reste pas aussi délicat bien longtemps en réalité. Au fur et à mesure, je me fais de plus en plus fougueux. Je veux lui montrer comme je l'aime. Alors je me fais plus fougueux, plus passionné… Plus brutal aussi. Toujours en faisant en sorte de ne pas lui faire de mal, mon but est pas de le blesser. Je ne veux que son bien. Et je me redresse pour quitter sa bouche, pour être à genoux et être plus libre de mes mouvements. Je le tiens bien, et je cherche à lui faire voir les étoiles en butant sa prostate à chaque passage. Le bon angle trouvé, j'agrippe ses hanches pour les maintenir dans la bonne position, et je le prends sans le ménager. Je lui laisse aucun répit.

I'll do whatever it takesQuand Sandro, il est là, avec moi, j’ai l’impression que tout va bien. Que tout ira toujours bien. Que tout ce qu’il y a autour de nous, le Cercle, les Créatures Obscures et ces conneries, ça existe pas. Comme si c’était rien. Qu’on est dans une bulle et je veux tellement que ça reste comme ça, à tout jamais. Qu’il y ait que nous deux, pour toujours. Alors je l’embrasse, je le presse contre moi comme je peux. Et je lui demande rapidement plus. Il me mets dans un état fou. Je veux toujours plus de lui, j’en ai besoin. Alors je le supplie presque. Chose qu’on me verra probablement jamais faire en dehors de la chambre, mais que voulez-vous… J’aime probablement un peu trop ça alors qu’on a encore quasiment rien fait. Ou peut-être que j’aime bien trop Sandro. Même si pour moi, je pourrais jamais l’aimer trop, même si c’est niais à souhait. Et même ses caresses me donnent envie de plus, alors comment ne pas réclamer ?
Et il cède finalement à mes demandes et suit le mouvement que j’ai déjà instauré en bougeant les hanches comme l’affamé que je suis. Et quand il se penche, même si la position est un peu inconfortable, je réponds tout de suite au baiser avec fougue, une main dans sa chevelure alors que l’autre agrippe bien ses omoplates pour le presser contre moi comme je peux. Et ses mouvements, bien que lents et profonds, me rendent totalement fou. Ils me font pousser de petits soupirs d’aise. Il me rends fou. Je me sens plein de la meilleure façon possible. Et quand il se fait moins délicat, il m’arrache un long râle alors que je laisse ma tête retomber en arrière. Ses mouvements enflamment mon corps tout entier et l’ironique c’est qu’il est probablement le seul à pouvoir éteindre le brasier qu’il allume. Et je geins quand il quitte mes lèvres, qu’il s’éloigne, alors mes mains quittent doucement sa chevelure et son dos que j’avais commencé à lacérer pour agripper les draps de part et d’autres de mon corps. Ses mouvements plus rapides, plus fougueux et toujours profonds me font voir les étoiles quand il bute ma prostate. Et les gémissements quittent mes lèvres rapidement, probablement pas des plus masculins, mais c’est pas vraiment la chose à laquelle je pense pour le moment. Et il me ménage pas, me donne aucun répit. Il me fait couiner encore et encore quand il martèle ce si bon spot en moi. Il m’avait beaucoup trop manqué et si mon coeur le savait déjà, mon corps me fait clairement comprendre à quel point il m’avait manqué. Que je crevais d’envie de le revoir, de l’avoir à nouveau contre moi, uni de toutes les façons possibles. “Bordel, Sandro.” Je grogne et je fais de mon mieux pour moi-même me redresser un peu pour réussir à l’embrasser, même s’il y a plus de dents qu’autre choses alors que je m’agrippe à son dos, je le griffe comme je peux. J’ai envie de l’avoir près de moi et en même temps, je veux que ce soit toujours aussi bon. Même si je doute carrément du fait que ça puisse être nul d’être avec lui. Faut dire que bon… Il est juste parfait. Je suis sûr que s’il était nul au pieu, je kifferais toujours. En même temps… Comment ne pas aimer ce qu’il me fait ? Il est juste parfait… © 2981 12289 0

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» well... that's awkward (sandrime + joaquin)
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