Eolline

Quand le destin s'emmêle

Qui l'aurait sincèrement cru ? Lui et moi ? Ici ? Au Pandémonium ? Mon coeur battait la chamade, mon héro, mon saveur est là, devant moi. Je déglutissais, sentais mes cheveux faire des leurs sans essayer de les en empêcher, en même temps, j'pouvais pas trop, j'y arrivais pas des masses à faire ça. A s'empêcher de s'illuminer et de changer de couleurs. Et puis, ya eu une explosion dans mon cœur quand nos lèvres se sont scellées. S'il s'est excusé la première fois, la deuxième fois j'ai pas pu m'empêcher de fondre une fois encore dans ses lèvres et de l'embrasser. Mon coeur bat comme un fou, mon sang tape dans mes tempes et je rougis. C'est alors qu'il créé un portail pour que nous puissions être tranquille. Je déglutis, sans trop savoir quoi faire, mais j'ai quand même décidé de prendre cette main qu'il m'a tendu pour que nous partons tous les deux chez lui, loin de tous. Juste lui et moi. Une fois le portail disparu, j'étais totalement perdue et je ne savais pas quoi faire. Je me retourne vers lui, un sourire timide au visage « C'est ... C'est grand et ... beau » fis je en me mordant la lèvre supérieure. J'ai chaud dans mon gilet, j'ai chaud tout court, j'aimerais l'embrasser une fois encore, être dans ses bras et ne plus jamais le quitter, mais je ne sais pas du tout comment faire « J'suis désolée je ... c'est la première fois pour moi je sais pas ce que je dois faire enfin ... » oui tais toi Omb, tais juste toi. Je déglutis, le regardant. Il est là. Il est devant moi et tout ira bien maintenant

Eolline

Quand le destin s'emmêle

Venir ici, c'était tellement inattendu en réalité. Je déglutis, arrivée dans sa demeure, sans me soucier que l'on nous ait vu nous éclipser. Peut être avions nous le droit ou non, j'avoue en avoir que faire des lois pour l'instant. Je déglutis, totalement sous le charme de sa demeure et rougis tout en souriant avec légèreté. Ainsi c'est ici, la demeure de mon héros, de celui qui m'a sauvé de mes torpeurs quelques années plus tôt. Qui l'eut cru n'est-ce pas ? Qui l'eut cru que nous nous retrouverons ici, dans la vie réelle, et du coup chez lui ? Je me tourne vers lui, le sourire toujours aux lèvres. Je finis par enlever mon bonnet, celui qui cache mes cheveux depuis toujours, cheveux qui finissent par n'en faire qu'à leur tête et je décide de les laisser faire ce qu'ils veulent. Je ressemble certainement à un arc-en-ciel ambulant ou à je ne sais quelle sorte d'espèce à vrai dire, mais j'avoue n'être nullement gênée par ce qu'ils font désormais. De plus, je les devine aisément rose pastel et léger, comme mon coeur ... léger dans ma poitrine et heureux. Ils s'approchent de moi et je me surprend à apprécier le contact de ses lèvres sur ma tempe, de ses mains contre moi, m'enlaçant contre lui. Je pourrais ronronner si j'étais un chat. Je le laisse me prendre dans ses bras, telle une princesse sans défense qui a besoin de se faire dorloter et sauver. une fois encore. Je souris, lèvre mon regard vers lui et répond à ce baiser tellement doux. Tout allait si vite, c'était agréable, cette chaleur qui me monte à la tête, ce coeur qui bat, ce ventre qui se tord, se baiser tellement agréable. Je le laisse enlever mon gilet et je laisse mon bonnet s'en aller avec sans m'en soucier. Cependant, c'est en voulant approfondir ce baiser passionné, en voulant le prendre dans mes bras, que la chaleur du dragon me surprend. Je réponds subitement le baiser et recule d'un pas. C'est qu'il est incroyablement chaud et que je ne suis pas du tout habituée. Je reprends mes esprits et rougis tout en déglutissant « j'pense qu'il faudrait qu'on y aille doucement » fis je avec un sourire timide